L'Église et la révolution franc̦aise: histoire des relations de l'Église et de l'État de 1789 à 1814Fischbacher, 1889 - 576 pages |
Contents
196 | |
202 | |
212 | |
218 | |
223 | |
230 | |
245 | |
251 | |
257 | |
264 | |
271 | |
277 | |
283 | |
289 | |
296 | |
302 | |
308 | |
314 | |
321 | |
327 | |
334 | |
340 | |
351 | |
360 | |
417 | |
423 | |
431 | |
439 | |
440 | |
448 | |
463 | |
476 | |
482 | |
488 | |
495 | |
506 | |
512 | |
518 | |
526 | |
533 | |
534 | |
540 | |
546 | |
552 | |
560 | |
566 | |
571 | |
573 | |
Other editions - View all
Common terms and phrases
assemblée avaient c'était Camille Desmoulins catholicisme catholique Célestin Port chrétien christianisme citoyens civile du clergé clergé constitutionnel comité ecclésiastique concordat constitution civile constitutionnel Convention curés débat décidé déclaration décret demande département député despotisme devait Dieu diocèse directoire disait-il discours discussion dit-il ecclésias Eglise églises eût évêques fanatisme gieuse Gironde gouvernement Grégoire haut clergé Histoire de Pie hommes Jacobins jour l'abbé l'ancien régime l'Assemblée nationale l'Eglise l'Etat l'évêque L'orateur législative libéral liberté de conscience liberté des cultes liberté religieuse lois Louis Blanc Maury ment mesures ministres Mirabeau morale motion n'avait n'était nation opinions pape paroles passé passions pays persécution peuple politique pouvait pouvoir civil premier consul prêtres insermentés principes proclamation proposition protestants publique question raison réclamer réforme refus reli religion résistance Révolution française révolutionnaire rien Robespierre Rome royaume saint-siège sainte séance serait serment seul siècle Sieyès social société sorte Talleyrand théophilanthropes tion tolérance tribune violents vote voulait
Popular passages
Page 56 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 110 - L'Assemblée nationale, considérant qu'elle n'a et ne peut avoir aucun pouvoir à exercer sur les consciences et sur les opinions religieuses ; que la majesté de la religion et le respect profond qui lui est dû ne permettent...
Page 528 - Le Premier consul de la République nommera, dans les trois mois qui suivront la publication de la bulle de Sa Sainteté, aux archevêchés et évêchés de la circonscription nouvelle. Sa Sainteté conférera l'institution canonique suivant les formes établies par rapport à la France avant le changement de gouvernement.
Page 527 - ... de l'établissement du culte catholique en France et de la profession particulière qu'en font les consuls de la République. En conséquence, d'après cette reconnaissance mutuelle, tant pour le bien de la religion que pour le maintien de la tranquillité intérieure, ils sont convenus de ce qui suit. Art. i . La religion catholique, apostolique et romaine sera librement exercée en France.
Page 154 - ... de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse qui lui est confié, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi et de maintenir de tout son pouvoir la constitution décrétée par l'assemblée nationale et acceptée par le roi.
Page 340 - Divinité n'existe pas, ô toi qui te passionnes pour cette aride doctrine, et qui ne te passionnas jamais pour la patrie? Quel avantage trouves-tu à persuader à l'homme qu'une force aveugle préside à ses destinées et frappe au hasard le crime et la vertu, que son âme n'est qu'un souffle léger qui s'éteint aux portes du tombeau?
Page 22 - Que si quelqu'un, après avoir reconnu publiquement ces mêmes dogmes, se conduit comme ne les croyant pas, qu'il soit puni de mort ; il a commis le plus grand des crimes : il a menti devant les lois.
Page xvi - Il sera créé et organisé une instruction publique, commune à tous les citoyens, gratuite à l'égard des parties d'enseignement indispensables pour tous les hommes, et dont les établissements seront distribués graduellement, dans un rapport combiné avec la division du royaume.
Page 22 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.
Page 157 - ... de la France, vous confessez, à la face de toutes les nations et de tous les siècles, que Dieu est aussi nécessaire que la liberté au peuple français; c'est ce moment que...