Bibliothèque d'histoire révolutionnaire, Volumes 1-3

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E. Guilmoto, 1911
 

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Popular passages

Page 10 - L'assemblée nationale , après avoir déterminé le mode de constater désormais l'état civil des citoyens, déclare qu'elle n'entend ni innover ni nuire à la liberté qu'ils ont tous de consacrer les naissances, mariages et décès par les cérémonies du culte au-, •quel ils sont attachés , et par l'intervention des ministres de ce •culte.
Page 17 - Nous ayons conservé les traitements des évêques : qu'ils imitent leurs fondateurs; ils rendaient à César ce qui appartient à César. Eh bien ! la nation est plus que tous les Césars.
Page 248 - ... l'écartant de nos côtes j'aimais à lui faire admirer les riches et charmantes rives du pays de Vaud, où la quantité des villes, l'innombrable foule du peuple , les coteaux verdoyants et parés de toutes parts, forment un tableau ravissant; où la terre, partout cultivée et partout féconde , offre au laboureur, au pâtre , au vigneron , ie fruit assuré de leurs peines , que ne dévore point l'avide publicain.
Page 201 - De crainte que le défaut de ressources pécuniaires n'empêche les personnes pauvres et misérables de faire valoir leurs droits par-devant nos Conseils , nous voulons qu'un avocat général des pauvres réside continuellement dans notre ville de Chambéry , et qu'on choisisse pour cet office un homme capable et de grande probité. Il défendra les causes des gens dénués de fortune par-devant nos Conseils , nos tribunaux inférieurs et même les tribunaux * Stat.
Page 11 - Dubarry, dernière maîtresse de Louis XV , rédigés sur des pièces authentiques , avec des détails sur ce qui s'est passé à la cour de France pendant qu'elle y était en faveur ; •uivis de sa Correspondance avec MM.
Page 17 - Elle tenait surtout à ce dernier point et décrétait (juillet 1793) que « les évêques qui apporteraient, soit directement, soit indirectement, quelque obstacle au mariage des prêtres...
Page 7 - Un curé de ce département a manqué d'être victime de la fureur de ses paroissiens, parce qu'il avait été assez vertueux pour prendre une femme.
Page 282 - ... eux-mêmes avaient laissé naître. Un édit royal, du 19 mai 1717, avait prescrit l'établissement, dans toutes les communes, d'une congrégation de charité qui devait être chargée de tout ce qui intéressait le sort des pauvres et des malades, la bienfaisance et l'assistance publique. — Quatre années plus tard, par un édit du...

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