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wild, campigie des roseaux », à l'imitati d'un site du Delta situé du côté de Peluse, dans le royaume archaïque de Bouto. Non lein stendait un autre para is, a la campagne

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des offrandes » (Sekhet hotpou). La destinée y était plus favorable encore. Dans les champs d'Ialou, l'âme devait cultiver son jardin; aux champs des offrandes elle trouvait la table toute servie, grâce aux doubles des offrandes terrestres qui prenaient aussi le chemin du ciel pourvu qu'on facilitât leur délivrance en les brisant ou en les brûlant. Les offrandes parvenaient aux Sekhet hotpou soit avec le défunt, soit dans la barque qui porte le soleil autour de l'univers. Naviguer dans la barque solaire, parcourir avec Râ le ciel diurne et nocturne, en manœuvrant les rames ou la voilure, être admis dans l'équipage formé par les dieux stellaires, c'était la destinée la plus enviable, la plus glorieuse, la plus immatérielle. L'âme qui y avait accès quittait joyeusement la terre et voguait en plein ciel comme un esprit « Lumineux » (Khou) parmi les constellations circompolaires du Nord, celles qu'on appelle les << Impérissables » (akhemou sekou) parce qu'elles ne disparaissent jamais du ciel visible. Les Égyptiens les observaient pour déterminer les heures, surtout la Grande Ourse; on disait de l'âme qu'elle habitait le pays de l'heure (Ounit), qu' « elle gouvernait la nuit et conduisait les heures », disposant ainsi de l'espace et du temps1.

Dans la suite des siècles, ces conceptions devinrent pour les Égyptiens matière à subtilités méta

1. Pyramide d'Ounas, I, 643. Cf. Lefébure, Le pays des heures, ans Sphinx, IV, p. 8.

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