La cité de Dieu de Saint Augustin: traduction nouvelle, Volume 25

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Charpentier, 1843 - 588 pages
 

Common terms and phrases

Popular passages

Page 125 - Venez à moi , vous tous qui êtes chargés , et je vous soulagerai. Prenez mon joug sur vous , et apprenez de moi que je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos de vos âmes , car mon joug est doux, et mon fardeau léger.
Page 350 - ... commencement était le Verbe, et le Verbe était en Dieu, et le Verbe était Dieu. Il était au commencement en Dieu. Toutes choses ont été faites par lui, et sans lui rien n'a été fait ; ce qui a été fait est vie en lui, et la vie était la lumière des hommes.
Page 15 - Ne craignez point ceux qui tuent le corps et ne peuvent tuer l'âme; mais plutôt craignez celui qui peut perdre et l'âme et le corps dans la géhenne.
Page 158 - L'esprit de vie donc, qui donne la vie à toutes choses, et qui est le créateur de tous les corps et de tous les esprits créés, c'est Dieu qui est un Esprit incréé. Sa volonté est souveraine, et c'est lui qui aide les bonnes volontés des esprits créés, juge les mauvaises, les ordonne toutes, et donne le pouvoir d'agir à quelques-unes, et ne le donne pas à d'autres. Car, comme il est le créateur de toutes les natures, il est l'auteur de toutes les puissances, mais non pas de toutes les...
Page 259 - Or Dieu dit : Que la lumière soit : et la lumière fut. Dieu vit que la lumière était bonne, et il sépara la lumière d'avec les ténèbres. Il donna à la lumière le nom de jour, et aux ténèbres le nom de nuit ; et du soir et du matin se fit...
Page 320 - ... qu'elle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, ce qui lui plaît, ce qui est parfait
Page 194 - Dieu qui naît ou de la tét«, ou de la cuisse, ou de quelques gouttes de sang ; c'est un dieu voleur; c'est un dieu adultère, c'est un dieu au service de l'homme. Enfin on attribue aux dieux tous les désordres, non-seulement des hommes, mais des hommes les plus infâmes.
Page 376 - Posthabita coluisse Samo ; hic illius arma, Hic currus fuit ; hoc regnum dea gentibus esse, Si qua fata sinant, jam tum tenditque fovetque.
Page 112 - Sans la justice, en effet, les royaumes sont-ils autre chose que de grandes troupe? de brigands? Et qu'est-ce qu'une troupe de brigands, sinon un petit royaume? Car, c'est une réunion d'hommes où un chef commande, où un pacte social est reconnu, où certaines conventions règlent le partage du butin. Si cette troupe funeste, en se recrutant de malfaiteurs, grossit au point d'occuper un pays, d'établir des postes importants, d'emporter des villes...
Page 8 - Pourquoi donc cette divine miséricorde s'est-elle étendue jusqu'aux impies, jusqu'aux ingrats? — Pourquoi? c'est qu'assurément elle est venue de celui qui fait lever son soleil sur les bons et les méchants, et pleuvoir sur les justes et les injustes.

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