Œuvres completes de Voltaire, Volume 54la Société Littéraire-typographique, 1785 |
Contents
3 | |
22 | |
30 | |
37 | |
46 | |
66 | |
73 | |
86 | |
282 | |
287 | |
297 | |
305 | |
312 | |
333 | |
342 | |
358 | |
103 | |
109 | |
127 | |
137 | |
146 | |
161 | |
183 | |
195 | |
203 | |
211 | |
214 | |
223 | |
231 | |
237 | |
243 | |
254 | |
266 | |
364 | |
386 | |
396 | |
419 | |
425 | |
440 | |
457 | |
463 | |
469 | |
483 | |
501 | |
514 | |
525 | |
531 | |
539 | |
559 | |
Other editions - View all
Common terms and phrases
abfurde affez affure ainfi auffi avaient c'eft c'eſt caufe célefte chaffé chap chofe chrétiens corps diable Dictionn DIEU dieux difait difent efprit enfans enfuite ère vulgaire eſpèce eſt évêque fage faint fang fans doute favans favant favoir fe trouve fecond fecret fecte fefait felon femble fens fentiment fept ferait fervir feul fiècles foient foit foleil fommes font fous fouvent fouverain fuivant fujet fuprême furtout Gamaliel Grecs hommes jamais jéfuite JESUS JESUS-CHRIST jufqu'à jufte juftice Juifs l'ame l'efprit l'Eglife l'hiftoire laiffa lorfque Louis XIV ment mille monde Monfieur mort n'avait n'eft n'eſt n'était nation néceffaire Newton obfervé oracles Origène Ovide paffé pape parlement penfer père perfécuté perfonne perfuada peuple pharifiens philofoph plaifir Platon plufieurs poëte prefque prêtres prophètes puiffance puiſſance quaker quakers queftion raifon reffufciter refte réfurrection religion reliques rime rois Romains Rome royaume s'eft ſes ſon St Paul temple terre VIII Zoroastre
Popular passages
Page 401 - ... ni loups, ni tigres, ni dogues, mais hommes, mais chrétiens. Notre Dieu, qui nous a ordonné d'aimer nos ennemis et de souffrir sans murmure, ne veut pas sans doute que nous passions la mer pour aller égorger...
Page 204 - Qu'avec leur plume ils font les destins des couronnes ; Qu'au moindre petit bruit de leurs productions, Ils doivent voir chez eux voler les pensions ; Que sur eux l'univers a la vue attachée ; Que partout de leur nom la gloire est épanchée...
Page 530 - Cependant à le voir, plein de vapeurs légères, Soi-même se bercer de ses propres chimères, Lui seul de la nature est la base et l'appui, Et le dixième ciel ne tourne que pour lui. De tous les animaux, il est, dit-il, le maître. Qui pourrait le nier ? poursuis-tu. Moi, peut-être.
Page 137 - Ce champ que je cultive, cette maison que j'ai bâtie, sont à moi; j'y vis sous la protection des lois, qu'aucun tyran ne peut enfreindre? Quand ceux qui...
Page 328 - Meudon, dans son extravagant et inintelligible livre, a répandu une extrême gaieté et une plus grande impertinence; il a prodigué l'érudition, les ordures et l'ennui. Un bon conte de deux pages est acheté par des volumes de sottises : il n'ya que quelques personnes d'un goût bizarre qui se piquent d'entendre et d'estimer tout cet ouvrage.
Page 57 - Que. savonsnous s'il ne les réfutait pas? Selon l'intérêt de sa cause, il le devait faire; et s'il ne l'a pas fait, assurément il avait quelque intention cachée.
Page 3 - Il a laissé le monde plein, il le trouve vide. A Paris on voit l'univers composé de tourbillons de matière subtile; à Londres on ne voit rien de cela. Chez...
Page 127 - La nation anglaise est la seule de la terre qui soit parvenue à régler le pouvoir des rois en leur résistant, et qui d'efforts. en efforts ait enfin établi ce gouvernement sage où le prince, tout-puissant pour faire du bien, a les mains liées pour faire du mal ; où les seigneurs sont grands sans insolence et sans vassaux, et où le peuple partage le gouvernement sans confusion.
Page 302 - Entrez dans la Bourse de Londres, cette place plus respectable que bien des cours, vous y voyez rassemblés les députés de toutes les nations pour l'utilité des hommes ; là le Juif, le mahométan et le chrétien traitent l'un avec l'autre comme s'ils étaient de la même religion, et ne donnent le nom d'infidèles qu'à ceux qui font banqueroute ; là le presbytérien se fie à l'anabaptiste, et l'anglican reçoit la promesse du quaker.