Archéologie égyptienne; ou, Recherches sur l'expression des signes hiéroglyphiques, Volume 3

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Common terms and phrases

Popular passages

Page 77 - Je vis ensuite s'élever de la mer une bête qui avait sept têtes et dix cornes, et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphème.
Page 553 - L'écriture hiéroglyphique est un système complexe, une écriture tout à la fois figurative, symbolique et phonétique, dans un même texte, une même phrase, je dirais presque dans le même mot.
Page 556 - ... de justes notions sur la divinité, sur les relations de l'homme avec elle , sur la dignité primitive de la nature humaine, sur sa chute, sur l'immortalité de l'âme, sur les moyens de son retour vers Dieu, enfin sur un autre ordre de choses après la mort, mais encore qu'on leur découvrait des traditions orales, et même des traditions ecrites, (') Lib.
Page 360 - ... n'étant point représentative de sa nature , exclut les images d'objets compliqués , comme le sont beaucoup de symboles ; et j'ai observé que là où le texte hiéroglyphique emploie un seul signe qui est symbolique , le texte sacerdotal correspondant le remplace souvent par un groupe de deux, de trois ou de quatre caractères.
Page 441 - Et super firmamentum quod erat imminens capiti eorum, quasi aspectus lapidis sapphiri similitudo tkrord : et super similitudinem throni similitudo quasi aspectus hominis desuper.
Page 183 - Ejçpo ou ESOOp, avec l'article, et que ce mot, en passant par les mains des copistes , eût pris cette forme méconnaissable. Le Nil a de tout temps été l'objet de la vénération , du culte même, des habitants de l'Egypte, et, malgré l'austérité de la religion qui aujourd'hui est la dominante du pays, on y voit partout des traces de ce culte.
Page 440 - Fils de l'homme , qui viendra sur les nuées du ciel avec une grande puissance et une grande majesté.
Page 231 - Egyptiens pouvaient, dans la prononciation , aspirer certaines consonnes initiales, sans représenter pour cela ces aspirations en transcrivant ces mots* soit en hiéroglyphes , soit en tous autres caractères; et que les Grecs ont voulu noter ces aspirations par leur K, ou plus habituellement par leur X. Cette hypothèse pourrait nous expliquer aussi pourquoi des auteurs grecs (Hérodote et Eratosthène) nous ont donné, par exemple, les mots K&i, Ky...
Page 260 - Le g- représente ,,une articulation pareille à celle du g- italien, „ lorsqu'il est suivi d'un *', comme dans giardino, ,,et peut s'exprimer par les lettres DJ. Cette „ prononciation est la plus usitée, et c'est celle ,,des habitans de l'Arabie. Mais en Egypte, à ,,Mascate, et peut-être dans quelques autres „ provinces , on prononce le K*- comme notre g peuvent maintenant éclairer la question de l'appellation originaire de la Corbeille, donnée par Mr.
Page 89 - TRÔCH, la couronne rouge , ornements royaux, symboles consacrés de la domination souveraine sur ces deux principales parties du royaume des Pharaons.

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