| G. Martiny de Riez - 1871 - 524 pages
...plus loin cependant, et, se prévalant, par un sophisme sans nom, de ces cruautés môme, on s'en est fait une arme. On a osé prétendre que toute ville...les portes et les boiseries des maisons. » Si on lui épargne le pillage, c'est une faveur qu'elle doit payer en se laissant rançonner à merci ; et... | |
| [Anonymus AC10234359] - 1871 - 120 pages
...plus loin cependant, et, se prévalant par un sophisme sans nom de ces cruautés même, on s'en est fait une arme. On a osé prétendre que toute ville...pétrole les portes et les boiseries des maisons. Si on lui épargne le pillage, c'est une faveur qu'elle doit payer en se laissant rançonner à merci; et... | |
| 1871 - 496 pages
...torture. On a été plus loin cependant, et se prévalant par un sophisme sans nom de ces cruautés même, on s'en fait une arme. On a osé prétendre que toute...traiter en forteresse prise d'assaut. On y met le feu aptes avoir inonde de pétrole les portes et le< boiseries des maisons. Si on a épargné le pillage,... | |
| 1871 - 720 pages
...s'en est fait une arme. On a osé prétendre que toute ville qui se défend est une place de guerre cl que, puisqu'on la bombarde, on a ensuite le droit...pétrole les portes et les boiseries des maisons. » Ainsi M. de Chaudordy reproche aux armées allemaiides : 1° D'avoir bombardé des villes ouvertes;... | |
| G. Martiny de Riez - 1871 - 522 pages
...défend est une place de guerre, et que, puisqu'on la bombarde, on a ensuite le droit de la'traiter en forteresse prise d'assaut. On y met le feu après...les portes et les boiseries des maisons. » Si on lui épargne le pillage, c'est une faveur qu'elle doit payer en se laissant rançonner à merci ; et... | |
| Jules Favre - 1872 - 548 pages
...cruautés mêmes, on s'en fait une arme. On a osé prétendre que toute ville qui se défend est uue place de guerre et que, puisqu'on la bombarde , on...guerre qu'elle doit payer en se laissant rançonner à merci. Et même, lorsqu'une ville ouverte ne se défend pas, on a pratiqué le système du bombardement... | |
| Achille Morin - 1872 - 618 pages
...on s'en fait une arme. On a osé prétendre que toute ville qui se défend est une place de -uerre et que, puisqu'on la bombarde, on a ensuite le droit...guerre, qu'elle doit payer en se laissant rançonner à merci. Et même, lorsqu'une ville ou>erte ne se défend pas, on a pratiqué le système du bombardement... | |
| Jules Joseph Valfrey - 1872 - 404 pages
...plus loin cependant, et, se prévalant par un sophisme sans nom de ces cruautés mêmes, on s'en est fait une arme.' On a osé prétendre que toute ville...pétrole les portes et les boiseries des maisons. Si on lui épargne le pillage, c'est une faveur qu'elle doit payer en se laissant rançonner à merci ; et... | |
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