Dieu, la nature et l'homme, ou, Le triomphe de la religion chrétienne, Volume 2 |
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Popular passages
Page 300 - En vérité , en vérité, je vous le dis : si vous ne mangez la chair du Fils de l'Homme , et si vous ne buvez son sang, vous n'aurez point la vie en vous.
Page 184 - Au fond c'est reculer la difficulté sans la détruire ; il serait plus inconcevable que plusieurs hommes d'accord eussent fabriqué ce livre, qu'il ne l'est qu'un seul en ait fourni le sujet. Jamais des auteurs juifs n'eussent trouvé ni ce ton, ni cette morale ; et l'Évangile a des caractères de vérité si grands, si frappants, si parfaitement inimitables, que l'inventeur en serait plus étonnant que le héros.
Page 386 - ... les droits de la défense naturelle; plus ils croiraient devoir à la religion , plus ils penseraient devoir à la patrie. Les principes du christianisme, bien gravés dans le cœur, seraient infiniment plus forts que ce faux honneur des monarchies , ces vertus humaines des républiques , et cette crainte servile des états despotiques.
Page 183 - La mort de Socrate , philosophant tranquillement avec ses amis , est la plus douce qu'on puisse désirer ; celle de Jésus expirant dans les tourmens , injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure; Jésus , au milieu d'un supplice affreux , prie pour ses bourreaux acharnés.
Page 559 - Cette puissance est de la puissance divine la partie qui se manifeste ; c'est en même temps la cause et l'effet, le mode et la substance , le dessein et l'ouvrage : bien différente de l'art humain, dont les productions ne sont que des ouvrages morts, la nature est elle-même un ouvrage perpétuellement vivant, un ouvrier sans cesse actif qui sait tout employer , qui , travaillant d'après soi-même toujours sur le même fonds, bien loin de l'épuiser , le rend inépuisable ; le temps , l'espace...
Page 183 - Jésus avait-il pris chez les siens cette morale élevée et pure dont lui seul a donné les leçons et l'exemple? Du sein du plus furieux fanatisme la plus haute sagesse se fit entendre, et la simplicité des plus héroïques vertus honora le plus vil de tous les peuples. La mort de Socrate, philosophant...
Page 558 - Dieu ; mais on peut la considérer comme une puissance vive, immense, qui embrasse tout, qui anime tout, et qui, subordonnée à celle du premier Être, n'a commencé d'agir que par son ordre, et n'agit encore que par son concours ou son consentement.
Page 483 - Venez, les bénis de mon Père ; possédez le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde. Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli ; j'étais nu, et vous m'avez revêtu ; j'étais malade , et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venu à moi.
Page 182 - Quels préjugés, quel aveuglement ne faut-il point avoir pour oser comparer le fils de Sophronisque au fils de Marie? Quelle distance de l'un à l'autre! Socrate, mourant sans douleur, sans ignominie, soutint aisément jusqu'au bout son personnage; et, si cette facile mort n'eût honoré sa vie, on douterait si Socrate, avec tout son esprit, fut autre chose qu'un sophiste.
Page 557 - ... mais dont les constructions sont plus grossières et plus irrégulières que celles des abeilles. On ne veut pas voir, ou l'on ne se doute pas , que cette régularité plus ou moins grande dépend uniquement du nombre et de la figure , et nullement de l'intelligence de ces petites bêtes : plus elles sont nombreuses , plus il ya de forces qui agissent également et qui s'opposent de même, plus il ya par conséquent de contrainte mécanique , de régularité forcée et de perfection apparente...