Histoire de France depuis les Gaulois: jusqu'à la mort de Louis XVILouis-Pierre Anquetil, Léonard-Charles-André-Gustave Gallois, Bon-Joseph Dacier, Jean-Baptiste-Bernard Viénot- Vaublanc (général).) chez Janet et Cotelle, 1818 |
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Histoire De France, Depuis Les Gaulois Jusqu'à La Mort De Louis Xvi.... Louis-Pierre Anquetil No preview available - 2019 |
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AGÉ Alaric Alpes Ambiorix Aquitaine armée armes attaque auroit Austrasie avoient avoit barbares Bellovaques Bretagne Brunehaut camp Carloman cavalerie César Charlemagne Charles Charles-le-Chauve chef Childebert Chilpéric Cimbres Clotaire Clovis combat Constance Constantin consul croyoit Dagobert déja devoient devoit donna Eduens empereur ennemis envoyé états étoient étoit évêques expédition faisoient faisoit fils firent foible forces François Frédégonde frère Gaules Gaulois général Germains Gondebaud gouvernement guerre hommes Hugues Ibid jeune Julien l'Aquitaine l'armée l'avoient l'empereur l'Empire l'Italie laissa légions long-temps Lothaire Louis lui-même mains maire Maximien ment Mézeray mille monarque monastère mort mourut n'avoit Nerviens Neustrie otages pape parcequ'il paroît passer pays pendant Pepin père peuples Pompée pouvoient pouvoir premier prince provinces règne Rhin Ricimer rois Romains Rome royaume s'étoient s'étoit Sabinus Saxons secours seigneurs sénat seul soldats sort Stilicon succès sur-tout Théodose Thierry tion Tréves Trévirs trône troupes Valentinien venoit Vercingétorix Vespasien victoire Vitellius
Popular passages
Page vii - ... eût exigé trois maîtres, si tous les trois ne s'étoient pas trouvés réunis dans la personne de M. Anquetil. Au milieu de ces occupations , qu'il remplissoit avec autant de zèle que d'exactitude, et qui auroient pu absorber tous les momens d'un homme moins laborieux et moins pressé du désir d'apprendre, il savoit se ménager chaque jour plusieurs heures qu'il consacroit à l'étude de l'histoire, vers laquelle il étoit entraîné par un penchant particulier, et qui a fait la consolation,...
Page 5 - Basse-Bretagne et dans le pays de Galles, était la Celtique, qui passe pour la mère de celles qui se sont parlées et se parlent encore en Europe : leur religion, le polythéisme, accompagné de pratiques superstitieuses et barbares, dont les druides, leurs prètres étaient les dépositaires et les propagateurs, s'ils n'en étaient pas les inventeurs intéressés.
Page 321 - ... déchiré , et avec les livrées de la plus . humiliante ignominie; Ce supplice fut renouvelé trois jours consécutifs. Des auteurs insinuent qu'on y joignit des tortures. Enfin elle fut attachée par les cheveux et par une jambe à la queue d'un cheval indompté , qui d'une ruade lui fracassa la tête et traîna le corps sur les pierres et les ronces , où il fut réduit en lambeaux. Justice divine ! quel doute peut-il rester encore d'un avenir réparateur , quand on compare la mort affreuse...
Page ix - Reims , comme si elle n'e'toit pas de moi; je ne crains pas de dire que c'est un bon ouvrage. On peut d'autant mieux l'en croire , que, n'ayant jamais eu la vanité d'auteur, il étoit capable d'apprécier ses propres œuvres avec une impartialité qu'on n'a pas toujours , même dans le jugement de celles des autres. En 1759, le régime de la congrégation le nomma prieur de l'abbaye de la Roé en Anjou ; cette place pouvoit être regardée comme une récompense et comme une retraite.
Page xi - ... paroît n'avoir pas pénétré dans tous les mystères de la politique qui faisoit agir les différens partis , s'il n'a pas développé toutes les causes secrètes ou connues des maux auxquels la France étoit alors en proie, ce que sembloit annoncer son titre, ce défaut d'apperçus et de raisonnemens, souvent aussi hasardeux que stériles, est amplement compensé par l'heureux enchaînement de tous les faits qu'il étoit bon de faire connoître , par l'intérêt d'une narration toujours claire...
Page xvi - ... vint détruire ses projets et renverser ses espérances. Prévoyant , dès les premières secousses , que son bénéfice alloit lui échapper, et qu'au lieu d'être désormais en état de soulager les...
Page 391 - Vous ne songez qu'à la parure, au jeu et au plaisir; mais, je le jure, je ne fais aucun cas de cette noblesse , de ces richesses qui vous attirent de la considération ; et si vous ne réparez au plus tôt, par des études assidues , le temps que vous avez perdu en frivolités , jamais...
Page xv - Esprit de la Ligue l'avoit placé, n'en cherchons pas la cause ailleurs que dans sa conscience et dans le sentiment profond des nouveaux devoirs qu'il s'étoit imposés en acceptant la cure importante de Château-Renard, près de Montargis, pour laquelle il quitta la direction du collège de Senlis. Il ne songea presque plus alors qu'à la responsabilité d'une pareille charge : plus occupé , pendant les vingt; années qu'il posséda cette cure , du soin de son nombreux troupeau que de celui de...
Page 310 - Je vous supplie et vous conjure, au nom de Dieu , de ne me pas assassiner comme mes frères. Laissez-moi seulement trois ou quatre ans de vie pour élever mes deux pupilles, afin qu'il y en ait au moins un capable de gouverner la France '. » Mais il prit , pour garantir sa vie , une précaution plus sûre que cette lamentable 'Supplication ; ce fut d'éloigner Frédégonde.
Page xiv - ... et le Régent , n'offre qu'un recueil d'anecdotes presque entièrement décousues , et puisées dans les divers mémoires du temps. A peine même, malgré les transitions qui les rapprochent sans les unir, aperçoit-on par intervalles quelques légères traces d'un fil conducteur , qui puissent faire soupçonner qu'on ne marche pas toujours au hasard. Cette collection, qui , malgré ses défauts, fut trouvée assez piquante lorsqu'elle parut, a perdu une partie de son prix depuis l'impression...