... qui m'absorbait intérieurement, pendant que ma main feuilletait le volume ou prenait des notes, je n'avais aucune conscience de ce qui se passait autour de moi. La table où j'étais assis se garnissait et se dégarnissait de travailleurs; les employés... Le Correspondant - Page 81883Full view - About this book
| Augustin Thierry - 1835 - 458 pages
...se garnissait etse dégarnissait de travailleurs; les employés de la bibliothèque ou les curieux allaient et venaient par la salle ; je n'entendais...et depuis cette époque de premier travail , il ne m'a rriva jamais d'avoir une perception aussi vive des personnages de mon drame, de ces hommes de race... | |
| Augustin Thierry - 1835 - 476 pages
...se garnissait et se dégarnissait de travailleurs; les employés de la bibliothèque ou les curieux allaient et venaient par la salle ; je n'entendais...souvenir m'est encore présent; et depuis cette époque d4 premier travail, il ne m'arriva jamais d'avoir une perception aussi vive des personnages de mon... | |
| Augustin Thierry - 1836 - 426 pages
...dégarnissait de travailleurs ; les employés de la bibliothèque ou les curieux allaient et venaient par Ja salle ; je n'entendais rien , je ne voyais rien ;...mon drame , de ces hommes de race , de mœurs, de physionomies et de destinées si diverses, qui successivement se présentaient à mon esprit , les... | |
| Augustin Thierry - 1839 - 600 pages
...se garnissait et se dégarnissait de travailleurs; les employés de la bibliothèque ou les curieux allaient et venaient par la salle ; je n'entendais...lecture. Ce souvenir m'est encore présent; et depuis celle époque de premier travail, il ne m'arriva jamais d'avoir une perception aussi vive des personnages... | |
| Augustin Thierry - 1842 - 774 pages
...se garnissait et se dégarnissait de travailleurs ; les employés de la bibliothèque ou les curieux allaient et venaient par la salle; je n'entendais...mon drame , de ces hommes de race, de mœurs , de physionomies et de destinées si diverses, qui successivement se présentaient à mon esprit , les... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - 1845 - 372 pages
...montré ses rêves. . . dégarnissait de travailleurs ; les employés de la bibliothèque ou les curieux allaient et venaient par la salle : je n'entendais...de mon drame, de ces hommes de race, de mœurs, de physionomies et de destinées si diverses, qui successivement se présentaient à mon esprit, les uns... | |
| Edouard Salvador - 1845 - 320 pages
...dégarnissait de travailleurs; les employé? de la bibliothèque ou les curieux allaient e| venaient parla salle; je n'entendais rien, je ne voyais rien; je...par ma lecture. Ce souvenir m'est encore présent ; çt depuis cette époque de premier travail, il ne m'arriva jamais d'avoir une perception aussi vive... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...se garnissait et se dégarnissait do travailleurs ; les employés de la bibliothèque ou les curieux allaient et venaient par la salle ; je n'entendais rien , je ne voyais rien j je ne voyais que les apparitions évoquées en moi par ma lecture. Ce souvenir m'est encore présent... | |
| Augustin Thierry - 1846 - 434 pages
...se garnissait et se dégarnissait de travailleurs ; les employés de la bibliothèque ou les curienx allaient et venaient par la salle ; je n'entendais...de mon drame, de ces hommes de race, de mœurs, de physionomies et de destinées si diverses, qui successivement se présentaient à mon esprit, les uns... | |
| Casimir Ladreyt - 1846 - 378 pages
...se garnissait et se dégarnissait de travailleurs ; les employés de la bibliothèque ou les curieux allaient et venaient par la salle ; je n'entendais...de mon drame, de ces hommes de race, de mœurs, de physionomies et de destinées si diverses, qui successivement se présentaient à mon esprit, les uns... | |
| |