Les pèlerinages de Suisse, Volume 1 |
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arriver assez aujourd'hui aurait avaient avant beau belle Berne c'était cæur cantons Catholiques cent chemin chercher chose Chrétiens ciel coup cour courage d'autres demander dernier devant Dieu dire donne doute enfants enfin faisait famille femmes fond font force forme frères Fribourg garde Genève gens gouvernement guerre haut heures hommes j'ai jette jeune joie jour juge jusqu'à l'Église l'homme l'un laisser liberté lieu livre loin longtemps main maintenant maison malheureux ment mieux milieu mille misérables monde montagnes mort mourir n'avait n'en n'était nobles nombre parler partout passer pauvres pays peine pensée père personne petite peuple pied pierre place plein porte pouvait premiers prêtres prier prière princes Protestants qu'un Réforme religieux religion reste rien s'en s'il saint sais savez Seigneur semble sentiment sera servir seul siècles sorte souvent Suisse suivant terre tombe trouve venait vérité vertu veut voie Voilà voulait yeux
Popular passages
Page 129 - ... tombât, il ne tarda pas à sentir la nécessité d'une autre invention ; et tous les soirs, avant de se coucher, il se lie au bras une corde, qui, à l'heure fatale, se tend sans crier gare et le jette à bas du lit. Il était là. Dieu sait quels nouveaux projets somnicides il roulait dans sa tête, lorsqu'il se sentit endormir pour toujours. Endormir ! Oh ! non, le fervent chrétien n'en jugea pas de la sorte; et malgré son petit péché de paresse, plein de confiance en celui qui pardonne:...
Page 170 - Je vous salue, Marie, pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre toutes les femmes, et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Page 344 - L'âme des grands travaux, l'objet des nobles vœux Que tout mortel embrasse, ou désire, ou rappelle, Qui vit dans tous les cœurs, et dont le nom sacré Dans les cours des tyrans est tout bas adoré, La liberté.
Page 45 - E. 4a contre les pantoufles et les habits dorés , refusent de paraître à l'hôpital, et prient le Conseil de leur pardonner cette faiblesse, « Dieu ne leur ayant pas accordé la grâce d'affronter le péril. « Les registres du Conseil, qui constatent tout cela, constatent aussi que les mœurs publiques étaient au niveau du courage des pasteurs, et l'histoire fait voir que ces hommes si influents, si écoutés, ne savaient pas mieux entretenir la concorde que maintenir la vertu parmi leurs concitoyens....
Page 175 - La lumière vacillante du foyer éclaire bizarrement tous ces groupes, et fait danser les ombres ; les pipes en pleine activité brillent çà et là comme des étoiles de feu dans les nuages.
Page 40 - ... les représentans du peuple. « Telles sont , en abrégé , les bases de nos constitutions. Ne reposentelles pas sur des principes semblables à ceux sur lesquels votre gouvernement est assis ? « Eh ! comment auriez-vous donc la volonté d'anéantir notre bonheur en touchant à notre organisation politique ? Quels seraient vos motifs pour le faire ? et quelle espèce d'avantage pourriez-vous en retirer...
Page 128 - ... encore venir le chercher: il se fit ermite. Non loin de son monastère s'élevait une montagne pleine de retraites inconnues. Un jour, étant allé par là se promener, il y resta, sous l'abri d'une hutte qu'il avait bâtie de ses nobles et savantes mains. Hélas ! même en ce lieu le monde le suivit encore, Les pèlerins apprirent les chemins jusqu'alors ignorés du mont Etzel, et marchèrent en foule vers l'étoile de sainteté qui venait de se lever dans ce désert. Les hommes d'alors, moins...
Page 131 - Presque en même temps qu'eux y arrivaient des gens de Wolrau, déjà instruits du meurtre de l'ermite, et qui découvrirent l'auberge où les assassins s'étaient réfugiés, parce que deux corbeaux qui avaient appartenu à Meinrad voulaient franchir la porte de ce logis d'où une servante essayait en vain de les chasser. Les assassins, saisis, avouèrent le crime, et déclarèrent entre autres choses, dans leur interrogatoire, qu'ayant oublié les recommandations de l'ermite, ils (1) Chronique...
Page 187 - Pour moi, je le dirai franchement et nettement, même avant d'expliquer toute ma pensée : si quelque chose me semble à regretter dans tout cela, c'est qu'on n'ait pas brûlé Jean Huss plus tôt, et que Luther n'ait pas été brûlé comme lui...
Page 130 - Il se laissa même bâtir une cellule qui le défendît au moins des tempêtes, et un modeste oratoire où il pût placer l'image de Marie, ce soleil de pureté, cette mère angélique des chrétiens, toujours prête à demander grâce pour ses enfants. Meinrad l'implorait sans cesse, il conduisait à ses pieds les bons pèlerins que n'effrayaient point les dangers de la...