Mes prisons, suivi des Devoirs des hommesGarnier, 1844 - 354 pages |
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aimer âme amour arrivé blerait bonheur bonté Brünn c'était carbonari cesse chambre CHAPITRE cher chose cœur compagnons compassion condamnés Confalonieri consolations courage créature d'autres dant devoir Dieu dire dis-je disais-je disait donner douce douleurs doux enfants espé esprit Feldkirchen femme fenêtre Francesca da Rimini frères geôlier guichetiers heures heureux homme infortunés j'ai j'avais j'étais jamais jeune joie jour l'âme l'amour l'homme laisser larmes long-temps Louis XVII Lubiana m'apporta m'avait m'était main malade malheureux Maroncelli matin ment mérite Milan monsieur mort noble Oroboni pable palais du patriarche pardon parents paroles passer patrie pauvre peine pendant pensée père personne peut-être philosophie Piémont plein pleurais Porro pouvait prier prison quelquefois raison regards religion reste s'il sais sait Schiller scorbut semblait sentiments sera seul Silvio Pellico sœurs soir sorte souf souvenirs pleins Spielberg sublime surintendant tendre tion Tremerello triste trouver Turin venait Venise vérité vertu voix Zanze
Popular passages
Page 280 - Venez, les bénis de mon Père ; possédez le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde. Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli ; j'étais nu, et vous m'avez revêtu ; j'étais malade , et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venu à moi.
Page 44 - ... montre avec cette évidence. Mais puisqu'elle dit, au contraire, que les hommes sont dans les ténèbres et dans l'éloignement de Dieu...
Page 44 - L'immortalité de l'âme est une chose qui nous importe si fort, qui nous touche si profondément, qu'il faut avoir perdu tout sentiment pour être dans l'indifférence de savoir ce qui en est.
Page 280 - ... Seigneur, quand est-ce que nous vous avons vu avoir faim, et que nous vous avons donné à manger ; ou avoir soif, et que nous vous avons donné à boire? Quand...
Page 331 - Si quelqu'un scandalise un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu'on lui pendît au cou une de ces meules qu'un âne tourne, et qu'on le jetât au fond de la mer.
Page 17 - ... sont aigus et multipliés : ces précieux dons de la nature tournent à sa ruine : il ne vit que pour la douleur : nulle correspondance, nulle société, nul éclaircissement de son sort. Quelle mutilation de l'existence ! C'est cesser de vivre, et ne jouir pas du repos que procure la mort.
Page 30 - Le christianisme est- il donc autre chose que cette soif incessante de perfectionnement moral? — Et je m'étonnais que, l'essence du christianisme se manifestant si pure, si philosophique, si inattaquable, il fût venu une époque où la philosophie osât dire : « Je le remplacerai désormais. » — Et de quelle manière le remplacerastu? En enseignant le vice? Non, certainement. — En enseignant la vertu? Eh bien! ce sera l'amour de Dieu et du prochain ; ce sera précisément ce que le christianisme...
Page 44 - Dieu, et de la posséder à découvert et sans voile, ce serait la combattre que de dire qu'on ne voit rien dans le monde qui le montre avec cette évidence. Mais, puisqu'elle dit au contraire que les hommes sont dans les ténèbres...
Page 299 - Honorez dans vos sœurs le charme suave des vertus de la femme ; réjouissezvous de l'influence qu'elles exercent sur votre âme pour l'adoucir, et puisque la nature les a faites plus faibles et plus sensibles que vous, soyez d'autant plus attentif à les consoler dans leurs afflictions, à ne pas les affliger vous-même, à leur témoigner constamment du respect et de l'amour.
Page 276 - Que mon âme se repose à l'ombre de vos saints mystères! Loin de moi également et l'impiété qui insulte à leur obscurité et la foi imprudente qui voudrait sonder leur secret. J'adresse à...