| Denis Diderot - 1798 - 524 pages
...J'avois en une }ourné« eënt physionomies diverses , selon là chose dont j'étois affecté. J'étois serein» triste, rêveur , tendre , violent , passionné , enthousiaste ; mais je ne fus jamais te] que yous me voyez-là. J'avois un grand front , des yeux très-vifs, d'assez grands traits , la... | |
| Denis Diderot - 1818 - 776 pages
...efféminé , vieux coquet-là? Mes enfans, je vous préviens que ce n'est pas moi. J'avais en une, journée cent physionomies diverses , selon la chose...yeux très-vifs , d'assez grands traits , la tête tout-à-fait du caractère d'un ancien, orateur , une bonhomie qui touchait de bien près à la bêtise... | |
| Denis Diderot - 1821 - 538 pages
..., efféminé, vieux coquet-là? Mes enfants, je vous préviens que ce n'est pas moi. J'avais cn une journée cent physionomies diverses, selon la chose...yeux très-vifs, d'assez grands traits , la tête tout-à-fait du caractère d'un ancien orateur, une bonhomie qui touchait de bien près à la bêtise,... | |
| Denis Diderot - 1821 - 596 pages
...efféminé, vieux coquet-là? Mes enfants, je vous préviens que ce n'est pas moi. J'avais en unejournée cent physionomies diverses, selon la chose dont j'étais...yeux très-vifs, d'assez grands traits , la tête tout-à-fait du caractère d'un ancien orateur, une bonhomie qui touchait de bien près à la bêtise,... | |
| Denis Diderot - 1821 - 512 pages
...mignon, efféminé, vieux coquet-là? Mes enfants, je vous préviens que ce n'est pas moi. J'avais en une journée cent physionomies diverses, selon la chose...serein, triste , rêveur , tendre , violent , passionné , eathousiaste; mais je ne fus jamais tel que vous me voyez là. J'avais un grand front, des yeux très-vifs,... | |
| Ernest Bersot - 1851 - 126 pages
...le refait de verve : « Mes enfans, je vous (3) préviens que ce n'est pas moi. J'avais en un jour cent physionomies diverses. Selon la chose dont j'étais...rêveur, tendre, violent, passionné, enthousiaste; j'avais un grand front, des yeux Ires-vifs, d'assez grands traits , la tête tout-a-fait du caractère... | |
| Académie des sciences morales et politiques (France) - 1852 - 534 pages
...avait peine à se reconnaître : « Mes enfants, je vous préviens que ce n'est pas moi. J'avais en une journée cent physionomies diverses, selon la chose...très-vifs, d'assez grands traits, la tête tout à fait d'un ancien orateur, une bonhomie qui touchait de bien près à la bêtise et à la rusticité des... | |
| Jean-Philibert Damiron - 1852 - 136 pages
...avait peine à se reconnaître : « Mes enfants, je vous préviens que ce n'est pas moi. J'avais en une journée cent physionomies diverses, selon la chose...très-vifs, d'assez grands traits, la tête tout à fait d'un ancien orateur, une bonhomie qui touchait de bien près à la bêtise et à la rusticité des... | |
| Académie des sciences morales et politiques (France) - 1852 - 544 pages
...avait peine à se reconnaître : « Mes enfants, je vous préviens que ce n'est pas moi. J'avais en une journée cent physionomies diverses, selon la chose...front, des yeux très-vifs, d'assez grands traits, la lêie tout à fait d'un ancien orateur, une bonhomie qui touchait de bien près à la bêtise et à... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1852 - 440 pages
...peine à se reconnaître : « Mes enfants , je vous préviens que ce n'est pas moi. J'avais en une journée cent physionomies diverses, selon la chose...mais je ne fus jamais tel que vous me voyez là... » Et il ajoute, car il nous importe dès l'abord de le bien voir : « J'avais un grand front, des... | |
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