Impressions de voyageMichel Lévy frères, 1865 - 278 pages |
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arriva avaient Bardi Beato Angelico Bonaparte Buondelmonte c'était cardinal cercueil chambre chapelle cheval chose Ciolli cocher rouge cœur comtesse d'Albany Cosme Ier Croisier demanda Desaix devait Dianora Dieu dire dit-il donna douleur enfin eût famille femme fenêtres Ferdinand fêtes fils Florence florentin François Ier frère galerie des Offices Galilée Giovanni grand-duc heures Hippolyte instant j'avais Jean Jean-Gaston Jeanne d'Autriche jeter jeune homme Joseph Poniatowski jour l'Arno l'église l'empereur l'Italie laisser Laurent le Magnifique Livourne Lupo Machiavel main maison Médicis mère messire Gualberti Michel-Ange Michele Mercati miracle mort mourir mourut Murat n'avait n'était Napoléon non-seulement nuit palais Pitti pape passer pauvre peinture pendant père petit Homme Rouge Philippe Strozzi pieds Pierre Pierre de Médicis Poggio a Cajano porte premier prince Corsini prince Jérôme prince royal princesse raconter répondit reste rien Rome s'était saint Zanobbi Seigneur seul soir statue Strozzi terrible tête tombeau Toscane trouva venait vint yeux Zaionczek
Popular passages
Page 200 - Je vous donnerai les clefs du royaume des cieux; et tout ce que vous lierez sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous délierez sur la terre sera délié dans le ciel.
Page 166 - Et pardonne-nous nos offenses , comme nous les pardonnons à ceux qui nous ont offensés ; » C'est la morale et la charité en deux mots.
Page 73 - ... vie. Ayant fini par m'apercevoir au bout de deux mois que c'était là la femme que je cherchais, puisque, loin de trouver chez elle, comme dans le vulgaire des femmes, un obstacle à la gloire littéraire, et de voir l'amour qu'elle m'inspirait me dégoûter des occupations utiles et rapetisser pour ainsi dire mes pensées, j'y...
Page 73 - Il y avait là trop de doux écueiis pour que j'osasse les affronter. Mais dans le cours de cet automne, pressé à plusieurs reprises par un de mes amis de me laisser présenter à elle, et me croyant désormais assez fort, je me risquai à en courir le danger, et je ne fus pas long-temps à me sentir pris, presque sans m'en apercevoir. Toutefois, encore chancelant entre le oui et le non de cette flamme nouvelle, au mois de décembre je pris la poste, et je m'en allai à franc étrier jusqu'à Rome,...
Page 99 - L'occasion qui se présente est trop belle pour la laisser échapper, et il est temps que l'Italie voie briser ses chaînes. Avec quelles démonstrations de joie et de reconnaissance ne recevraient-elles pas leur libérateur, ces malheureuses provinces qui gémissent depuis si longtemps sous le joug d'une domination odieuse 1 Quelle ville lui fermerait ses portes, et quel peuple serait assez aveugle pour refuser de lui obéir?
Page 96 - Florence, pour assurer leur domination chancelante, durent faire main-basse sur tout ce qu'il y avait de noble et de grand dans la république.
Page 27 - Protée aux mille formes, fée insaisissable, ondine bondissante, qui nait d'un rien, s'attache à un caprice, s'élève par l'enthousiasme, retombe avec une plaisanterie, se prolonge par l'intimité, meurt par l'insouciance, se rallume à une étincelle, brille de nouveau comme un incendie, s'éteint tout à coup comme un météore pour renaître, sans que l'on sache pourquoi ni comment ; cette conversation, dont notre esprit altéré était plus avide que l'estomac le plus exigeant ne le sera jamais...
Page 26 - Une des choses les plus rares à rencontrer à l'étranger est, pour un Français, cette bonne et franche causerie parisienne, dont on ne sent le prix que lorsqu'on l'a perdue et qu'on la cherche vainement. Je me rappelle qu'un jour une provinciale demandait devant moi à...
Page 112 - MichelAnge fut pris d'une fièvre légère, il prévoyait sa fin et pria qu'on écrivît, à Lionardo de se hâter; mais sa maladie fit des progrès rapides. En présence de son médecin Donati, de Daniel de Volterre et de quelques autres de ses amis, il dicta ce bref testament : « Je laisse mon âme à Dieu, mon corps à la terre, et mes biens h mes plus proches parents.
Page 131 - Grato mi è il sonno, e più l'esser di sasso: Mentre che il danno e la vergogna dura, Non veder, non sentir, m'è gran ventura; Però non mi destar; deh parla basso!