Les Images de MéliseEditions Publibook |
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Clermont rue GiscarddelaTourFondue 11 Janvier 1939 la dame de pique 17 Limoges printemps 1939 avenue Locarnot 20 Août 1939 le déménagem... | 75 |
1940 premières mesures autoritaires 79 1940 premier Noël à lorphelinat 81 Mélise sept ans les étiquettes 84 1941 le message dYvette 85 1941 premie... | 87 |
Avril 1941 pour moi les larmes dAlicia 93 1941 premières difficultés alimentaires 95 1942 tous chantaient Maréchal nous voilà 97 1941 mes bavard... | 104 |
zone occupée | 111 |
Huit ans le drap sur la tête 117 1943 langoisse | 120 |
je minterroge 139 1943 premiers bombardements 141 Les filles de la campagne et Claudine 145 NotreDame dArliquet et le cahier denluminures 147... | 214 |
Divorce en filigrane | 268 |
Rentrée des classes | 276 |
Le cérémonial du lundi 290 Les dollars de loncle Sam | 293 |
Le collège | 300 |
Un masque de carnaval 303 Lamant nétait pas le mari 306 Latelier de mode | 308 |
Les trois singes | 314 |
Lépouvantail | 321 |
Intermède | 329 |
Vacances sous le tilleul | 331 |
La marionnette dAlicia 334 Tu nes pas ma petitefille 336 La lettre 338 La vengeance 340 Plus damour plus de fleurs 343 Bientôt le grand jour 345 U... | 393 |
Promenade dans le jardin dOrsay 280 Le pot aux roses 282 Le billet de train | 286 |
Common terms and phrases
aimait ajouta Alicia allait Amandine arriva assez aurait avaient avant beau belle bonne bout bras c’est c’était chanter chercher chose cœur côté coups cour d’enfants d’un d’une demande devant Dieu dire disait dit-elle donnait doute enfants faisait fallait fenêtre ferait fille fleurs force garder guerre heures heureuse j’ai j’aurais j’avais J’étais jardin joie jouer jour l’autre l’école l’on l’orphelinat laisser long longtemps m’avait mains maison maman manger Marie matin ment mère mieux mois monde mort n’avait n’est n’était noir nouveau nouvelles nuit pain papa parler passait pendant pensais pension père personne petit petite peur peut-être pied place pleine pleurer porte pourtant pouvait premier prenait présent presque qu’elle qu’il qu’on qu’un regard rentrer rester rien robe roses s’était sais savais semblait sentais serait seule sœur soir sortir sûr table tenait tête travaillait trouvait venait vivait voiture voix voulait voulu voyait vrai yeux