 | Gabriel-Henri Gaillard - 1819 - 624 pages
...ce qu'on fera , ils sem• blent devoir bientôt enfanter quelque chose de tra« giquc La coignée est à la racine, l'arbre penche, « et au lieu de le soutenir, pendant que nous le pour« rions encore, nous précipitons sa chute Dieu • nous ôte la vue de nos périls,... | |
 | Jean Jacques Altmeyer - 1836 - 200 pages
...apporter le remède nécessaire. Il le prenait dans la suite d'un ton plus haut : Je vois, disait-il , que la cognée est à la racine; l'arbre penche, et ,...le pourrait encore, nous le précipitons à terre. » (Bossuet } Histoire des Variations, 1. 1, p. 1-6.) « Celui qui remplissait alors le siège de S'-Pierre... | |
 | Charles Auguste Désiré Filon - 1838 - 590 pages
...Césarini au pape Eugène IV, quand on verra que nous promettons en vain de nous corriger.... La coignée est à la racine, l'arbre penche, et, au lieu de le soutenir pendant que nous le pourrions encore, nous précipitons sa chute ; Dieu nous ôte la vue de nos périls, comme... | |
 | Hippolyle Roux-Ferrand - 1840 - 772 pages
...« Ces désordres, lui disait-il, excitent la haine du peuple contre tout l'ordre ecclésiastique. La cognée est à la racine, l'arbre penche, et, au lieu de le soutenir pendant qu'il en est temps encore, uons le précipitons à terre. > (BossDET, Histoire des variations, etc.)... | |
 | William Ewart Gladstone - 1840 - 592 pages
...la coignée est à la racine, l'nrbre penche : et au lieu de le soutenir pendant qu'on le pourroit encore, nous le précipitons à terre. . . . " Les corps périront avec les âmes. Dieu nous <>te la vue de nos périls, comme II a coutume de faire à ceux qu' II veut punir: le feu est allumé... | |
 | Jacques Bénigne Bossuet - 1840 - 778 pages
...remède nécessaire. Il le prenoit dans la suite d'un ton plus haut : « Je vois , disoit-il , que la » cognée est à la racine, l'arbre penche; et au lieu de le s&utenir » pendant qu'on le pourrait encore , nous le précipitons à terre. » II voit une prompte... | |
 | Jacques Bénigne Bossuet - 1841 - 828 pages
...la suite d'un ton plus haut : « .Te « vois, disait-il, que la cognée est à la racine, l'ar« bre penche; et au lieu de le soutenir pendant « qu'on...pourrait encore, nous le précipitons à « terre. » II voit une prompte désolation dans le clergé d'Allemagne '. Les biens temporels dont on voudra... | |
 | abbe Antoine Eugene de Genoude - 1845 - 464 pages
...nécessaire. Il le prenait dans la suite d'un ton plus haut. « Je vois, disait-il, que la coignée est à la racine, l'arbre penche , et au lieu de le soutenir pendant qu'on le pouvait encore , nous le précipitons à terre. » Il voit une prompte désolation dans le clergé... | |
 | abbe Antoine Eugene de Genoude - 1846 - 566 pages
...nécessaire. » II reprenait dans la suite d'un ton plus haut : « Je vois , disait-il, que la coignée est à la racine ; l'arbre penche, et au lieu de le...le pourrait encore , nous le précipitons à terre. » II voit une prompte désolation dans le clergé d'Allemagne. Les biens temporels dont on voudra... | |
 | D. Massiou - 1846 - 524 pages
...lugubres paroles: — Les esprits des hommes sont dans l'attente de ce qui adviendra : la coignée est à la racine , l'arbre penche , et , au lieu de le soutenir pendant que nous le pourrions encore , nous précipitons sa chute. Dieu nous ôte la vue de nos péchés :... | |
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On rejettera la faute de tous ces désordres sur la cour de Rome, qu'on regardera comme la cause de tous les maux, parce qu'elle aura négligé d'y apporter le remède nécessaire. 
