Histoire de la domination romaine en Judée, et de la ruine de Jérusalem, Volume 1Guyot et Scribe, 1847 - 590 pages |
Other editions - View all
Common terms and phrases
Agrippa Alexandre Alexandre Jannée Annal Antigone Antipater Antiquit Archélaüs Aristobule armée Asmonéens autem avaient Bell Caïus capitale juive cause César chefs Corbulon culte d'Agrippa d'Alexandre d'Aristobule d'Hérode d'Hyrcan divinité documens domination dynastie Égypte enfans esprit etiam étrangère événemens famille fils d'Antipater frère Gabinius Galilée Gaules général gouverneur de Syrie græc grec guerre habitans Havercamp Hébreux Hérode histoire hommes Hyrcan Jéricho Jéru Jérusalem Josèphe Jourdain jours Judæi judaic Juifs l'an l'Égypte l'empereur l'empire l'ère actuelle l'Euphrate légions Maccabées Malichus Marc Antoine Marianne mille Mithridate mort nation juive nationale Néron nouvelle Palestine Parthes pays père peuple Pharisiens Plutarque politique Pompée populations premier prince procurateurs provinces puissance quæ quam quod règne religieuse résistance Rome royaume royaume de Judée ruine s'était salem Salomé seul siége Syrie syrienne Tacfarinas Tacit Tacite temple tétrarchie tétrarque Tibère tion Titus tribus troupes vero Vespasien VIII
Popular passages
Page 398 - D'avarice qui va jusques à la fureur. Rien ne suffit aux gens qui nous viennent de Rome: La terre et le travail de l'homme Font pour les assouvir des efforts superflus. Retirez-les : on ne veut plus Cultiver pour eux les campagnes. Nous quittons les cités, nous fuyons aux montagnes ; Nous laissons nos chères compagnes; Nous ne conversons...
Page 251 - Lorsqu'ils accordaient la paix à quelque prince, ils prenaient quelqu'un de ses frères ou de ses enfants en otage, ce qui leur donnait le moyen de troubler son royaume à leur fantaisie. Quand ils avaient le plus proche héritier, ils intimidaient le possesseur ; s'ils n'avaient qu'un prince d'un degré éloigné, ils s'en servaient pour animer les révoltes des peuples.
Page 397 - Craignez, Romains, craignez que le ciel quelque jour Ne transporte chez vous les pleurs et la misère; Et, mettant en nos mains, par un juste retour...
Page 389 - C'était une manière lente de conquérir. On vainquait un peuple, et on se contentait de l'affaiblir; on lui imposait des conditions qui le minaient insensiblement; s'il se relevait, on l'abaissait encore davantage, et il devenait sujet sans qu'on pût donner une époque de sa sujétion.
Page 137 - J'étais en quartier d'hiver, dans ma chère Lutèce ; c'est ainsi que les Celtes appellent la petite ville des Parisiens, située sur le fleuve qui l'environne de toutes parts, en sorte qu'on n'y peut aborder que de deux côtés, par deux ponts de bois.
Page 252 - ... que la volonté des Romains : et, comme cette dernière faction était toujours la plus puissante, on voit bien qu'une pareille liberté n'était qu'un nom. Quelquefois ils se rendaient maîtres d'un pays sous prétexte de succession : ils entrèrent en Asie...
Page 166 - Si c'étaient des princes du même sang qui se disputaient la couronne, ils les déclaraient quelquefois tous deux rois : si l'un d'eux était en bas âge, ils décidaient en sa faveur, et ils en prenaient la tutelle, comme protecteurs de l'univers ; car ils avaient porté les choses au point quo...
Page 316 - ... impossible d'en éviter la prise, et, avec sa beauté, la bonne grâce qu'elle avoit à deviser, la douceur et la gentillesse de son naturel, qui...
Page 137 - J'étais en quartier d'hiver dans ma chère Lutèce : c'est ainsi que les Celtes appellent la petite ville des Parisiens. Elle est située sur le fleuve...
Page 364 - Leurs marchandises d'or et d'argent, de pierres précieuses, de perles, de fin lin, de pourpre, de soie, d'écarlate, toute sorte de bois odoriférant, toute sorte de meubles d'ivoire et de...