Histoire et légende de Marion de Lorme: avec une documentation iconographique et une présentation de Émile MagneLa Connaissance, 1927 - 178 pages |
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Common terms and phrases
aimé amants amour Anne d'Autriche Aprés Archives nationales Arnauld avoit baisa baron de Baye Barreaux Bazinière beau beauté belle Bois-Robert Brissac Buckingham cardinal carrosse chambre château de Baye ciel Cinq-Mars cœur confesseur confession conseil courtisane Credidi d'Emery Desbarreaux Desfiat Dieu disait donne Donon duc de Brissac écuyer embrassa étoient étoit eût falloit femme fille galant galanterie grace Guy Patin homme Hugo j'ay Jean de Lon jeune Joséphin Péladan l'amour l'échaffaut l'esprit l'executeur l'Orme laissé LÉGENDE DE MARION lettre Loret Lorme Louis Louis XIII Lyon main maîtresse Malavalette manteau Marcassus maréchal mariage Marie Chastelain Marie de l'Ou Marion Delorme Mazarin monde monsieur mort mourir Ninon de Lenclos oüi passer Pere place des Terreaux place Royale plaisir poète pôteau prit quæ quoy reine Richelieu rion rivale Rouville Saint-Évremond seigneur sieur sœur sorte Tallemant des Réaux tête Théophile Thou vice visage yeux
Popular passages
Page 69 - Ne me pardonnera sans choquer ta justice. Oui, mon Dieu, la grandeur de mon impiété Ne laisse à ton pouvoir que le choix du supplice ; Ton intérêt s'oppose à ma félicité ; Et ta clémence même attend que je périsse.
Page 126 - La pauvre Marion De Lorme, De si rare et plaisante forme, A laissé ravir au tombeau Son corps si charmant et si beau.
Page 69 - Ne laisse à ton pouvoir que le choix de supplice : Ton intérêt s'oppose à ma félicité, Et ta clémence même attend que je périsse. Contente ton désir puisqu'il t'est glorieux, Offense-toi des pleurs qui coulent de mes yeux.
Page 69 - J'adore en périssant la raison qui t'aigrit : Mais dessus quel endroit tombera ton tonnerre Qui ne soit tout couvert du sang de Jésus-Christ ? SONNET 1 ROMPEURS miroirs des cœurs, infidèles lumières, Ah!
Page 166 - ... compagnie, eurent ordre de les mener au supplice. » Sur les degrés du palais, M. de Thou, voyant un carrosse qui les attendait, dit à M. de Cinq-Mars : — Quoi ! on nous mène en carrosse! va-t-on comme cela en paradis? Je m'attendais bien...
Page 165 - Il écrivit deux lettres qui furent portées ouvertes à M. le Chancelier, et puis remises entre les mains de son confesseur pour les faire tenir; ces lettres étant fermées, il dit : Voilà la dernière pensée ijue je veux avoir pour le monde, parlons du parada.
Page 114 - Je ne suis plus oiseau des champs, Mais de ces oiseaux des Tournelles Qui parlent d'amour en tout temps, Et qui plaignent les tourterelles De ne se baiser qu'au printemps.
Page 90 - Fontrailles racontoit qu'étant entré une fois à SaintGermain fort brusquement dans la chambre de M. le Grand, il le surprit comme il se faisoit frotter depuis les pieds jusqu'à la tête d'huile de jasmin, et, Se mettant au lit, il lui dit d'une voix peu assurée : « Cela « est plus propre. » Un moment après on heurte, c'est le Roi. Il ya apparence, comme le dit le fils de feu L'Huillier, à qui on contoit cela, qu'il s'huiloit pour (•) On avoit obligé M.
Page 158 - Eh bien ! monsieur, humainement je pourrais me plaindre de vous ; vous m'avez accusé, vous me faites mourir ; mais Dieu sait combien je vous aime ! Mourons, monsieur, mourons courageusement et gagnons le paradis.
Page 172 - ... embrassant fortement de ses deux bras le poteau , il ferma les yeux et la bouche, et attendit le coup que l'exécuteur lui vint donner assez lentement et pesamment, s'étant mis à sa gauche et tenant son couperet des deux mains.