| 1842 - 648 pages
...alors qu'au fond de moi-même il n'y avoit plus rien qui fût debout (1). » Ce moment fut allVeux; et quand, vers le matin, je me jetai épuisé sur...ouvrir une autre sombre et dépeuplée, où désormais j'allois vivre seul, seul avec ma fatale peusoe qui venoit de m'y exiler, et que j'étois tenté de... | |
| Auguste Nicolas - 1845 - 572 pages
...ME L'AVAIT FAIT CROIRE, JE NE POUVAIS PLUS L'AD» METTRE, JE LE REJETAIS. » Ce moment fut affreux , il me sembla sentir ma » première vie, si riante..., s'en ouvrir une autre sombre » et dépeuplée, oh désormais j'allais vivre seul, » seul avec ma fatale pensée qui venait de m'y » exiler, et que... | |
| Jean Jacques Auguste Nicolas - 1849 - 552 pages
...ME L'AVAIT FAIT CROIRE, JE NE POUVAIS PLUS L'ADMETTM; » JE LE REJETAIS. » Ce moment fut affreux; il me sembla sentir ma première vie, si » riante...pleine, s'éteindre, et derrière moi, s'en ouvrir une antre a sombre et dépeuplée, où désormais j'allais vivre seul, seul avec ma fa» taie pensée qui... | |
| Henri-Joseph Icard - 1853 - 466 pages
...alors qu'au fond de moi-même il n'y avait plus » rien qui fût debout. » Ce moment fut affreux ; et quand, vers le matin, je » me jetai épuisé sur...première vie, si riante et si pleine, s'éteindre, et s'en » ouvrir une autre sombre et dépeuplée, où désormais » j'allais vivre seul, seul avec ma... | |
| Gioacchino Ventura de Raulica - 1853 - 840 pages
...l'avait fait croire, je ne pou• rais plus l'admettre, je le rejetais. « Ce moment fut affreux ; il me sembla sentir ma • première vie, si riante et si pleine, s'éteindre, et der» rière moi s'en ouvrir une autre, sombre et dépouillée, • où désormais j'allais vivre seul,... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1855 - 452 pages
...sus alors qu'au fond de moi-même il n'y avait plus rien qui fût debout. « Ce moment fut affreux, et quand, vers le matin, je me jetai épuisé sur...pleine, s'éteindre, et derrière moi s'en ouvrir une aulre sombre et dépeuplée, où désormais j'allais vivre seui, seul avec ma fatale pensée qui venait... | |
| Arthur La Broderie, Émile Grimaud - 1858 - 566 pages
...déchirants les angoisses de la nuit où il évoqua le Fantôme du doute. « Ce fut un moment affreux, nous dit-il, et, quand vers le matin , je me jetai épuisé...riante et si pleine, s'éteindre et derrière moi s'en entrouvrir une autre sombre et dépeuplée où, désormais, j'allais vivre seul avec ma fatale pensée... | |
| Paul Jouhanneaud - 1863 - 718 pages
...fond de moi-mémo il n'y avait plus rien qui fût debout. a Ce moment fut affreux; et quand, vers lo matin, je me jetai épuisé sur mon lit, il me sembla...et si pleine, s'éteindre, et, derrière moi, s'en ouTrir une autre sombre et dépeuplée, où . désormais j'allais vivre seul, seul avec ma totale pensée... | |
| Jean Jacques Auguste Nicolas - 1870 - 748 pages
...PLUS L'ADMETTRE ; JE LE REJETAIS. « Ce moment fut affreux; il me sembla sentir ma pre-- « mière vie, si riante et si pleine, s'éteindre, et derrière...moi s'en ouvrir une autre sombre et dépeuplée, où dé« sonnais j'allais vivre seul, seul avec ma fatale pensée • comprendra pas, mais qui n'en est... | |
| abbé Émile Ferdinand Xavier Castan - 1871 - 456 pages
...sus alors qu'au fond de mon âme il n'y » avait plus rien qui fût debout. « Ce moment fut affreux, et, quand vers le matin » je me jetai épuisé sur...et si pleine, s'éteindre, » et derrière moi s'en ouvrit une autre sombre et r> dépeuplée, où désormais j'allais vivre seul, seul » avec une fatale... | |
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