 | Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1822 - 566 pages
...d'encre , et toute pantelante , » la route de la vérité, baissant toujours vers la terre sur » son front sillonné d'algèbre. Rien de semblable...d'apercevoir »la science des temps primitifs à une si énorme dislance. » on la voit toujours libre et isolée, volant plus qu'elle ne » marche, et présentant,... | |
 | Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1822 - 564 pages
...souillée d'encre, et toute pantelante, » la route de la vérité, baissant toujours vers la terre sur » son front sillonné d'algèbre. Rien de semblable...antiquité. Autant qu'il nous est possible d'apercevoir »Ia science des temps primitifs à une si énorme distance, »on la voit toujours libre et isolée,... | |
 | Charles Marie D. de Féletz - 1828 - 574 pages
...toute pantelante sur la route de la vé« rité, baissant toujours vers la terre son front sil« lonné d'algèbre. Rien de semblable dans la haute « antiquité. Autant qu'il nous est possible d'aperce« voir la science des temps primitifs, à une si énorme « distance, on la voit toujours... | |
 | Joseph Marie comte de Maistre - 1850 - 910 pages
...chargés de livres et d'instruments de toute espèce , pâle de veilles et de travaux , elle se traîne souillée d'encre et toute pantelante sur la route...toujours vers la terre son front sillonné d'algèbre. Rieu de semblable dans la hante antiquité. Autant qu'il nous est possible d'apercevoir la science... | |
 | abbé M. Vuillaume - 1855 - 390 pages
...chargés de livres et d'instruments de toute espèce, pâle de veilles et de travaux, elle se traîne souillée d'encre et toute pantelante sur la route...d'algèbre. Rien de semblable dans la haute antiquité. Àntant qu'il nous est possible d'apercevoir la science des temps primitifs à nne si énorme dislance,... | |
 | Vuillaume - 1855 - 368 pages
...chargés de livres et d'instruments de toute espèce, pâle de veiltes et de travaux, elle se traîne souillée d'encre et toute pantelante sur la route de la vérité, baissant toujoors vers la terre son front sillonné d'algèbre. Rien de semblable dans la haute antiquité.... | |
 | Alexandre Rodolphe Vinet - 1857 - 624 pages
...chargés de livres • et d'instruments de toute espèce, pâle de veilles et de travaux, elle se traîne souillée • d'encre et toute pantelante sur la route...d'apercevoir la science des temps primitifs à une si énorme dis• tance, on la voit toujours libre et isolée, volant plus qu'elle ne marche, et présentant... | |
 | Prosper Gay - 1858 - 546 pages
...Lettre à M. Abel Rémusat , sur la nature des formes grammaticales, etc. ; par G. de Humboidt. (3) « Autant qu'il nous est possible d'apercevoir la science des temps primitifs à une si énorme distance , on la voit toujours libre et isolée, volant plus qu'elle ne marche , et présentant... | |
 | 1861 - 1038 pages
...chargés de livres et d'instrumens de toute espèce, pâle de veilles et de travaux, elle se traîne, souillée d'encre et toute pantelante, sur la route de la vérité, baissant toujours sur la terre son front sillonné d'algèbre, » on voit la science de la haute antiquité, toujours... | |
 | Auguste Carlier - 1864 - 530 pages
...chargés de livres et d'instruments de toute espèce, pâle de veilles et de travaux, elle se traîne souillée d'encre et toute pantelante, sur la route...d'apercevoir la science des temps primitifs à une si énorme distance, on la voit toujours libre et isolée, volant plus qu'elle ne marche, et présentant... | |
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Sous l'habit étriqué du nord, la tête perdue dans les volutes d'une chevelure menteuse, les bras chargés de livres et d'instruments de toute espèce, pâle de veilles et de travaux, elle se traîne souillée d'encre et toute pantelante sur la route... 
