Mélanges littéraires, politiques et philosophiques, Volume 2librairie d'Adrien le Clere, 1854 |
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Angleterre aujourd'hui aurait autorité avaient besoin Bossuet Camille Jordan catholique censure chambre des pairs Charte choses chrétienne conseil conserver constitution Cormenin corps crimes d'autres dangers démocratie désordre devoirs Dieu dire doctrines domestique donner doute écrits écrivains enfants ennemis esprits Etats faiblesse famille force gouvernement guerre haine hommes humain Hyde de Neuville institutions intérêts jamais jésuites journaux juges justice l'auteur l'éducation l'Eglise l'esprit l'Etat l'Europe l'homme laisser législation légitime libéraux liberté licence lois longtemps Louis XIV Louis XVI lui-même malheurs Médiateur ment ministres mœurs monarchie monde Montesquieu Montlosier morale motifs nation naturelle nécessaire noble pair opinions pable parler particulier passions pensées père peuple peut-être peuvent philosophie politique populaire pouvoir premier presse principes propriété public publique puisse punir qu'un raison religieux religion répression révolution révolution française rien rois royale royauté s'il sentiments serait seul siècle société souverain Suisse système talent tion toyens traité de Westphalie tribunaux ultramontanisme vérité veut
Popular passages
Page 100 - Ils espéraient une réponse qui donnât un prétexte pour le livrer à Pilate. Celle de Jésus fut admirable. Il se fit montrer l'effigie de la monnaie : « Rendez, dit-il, à César ce qui est à César, à Dieu ce qui est à Dieu l.
Page 341 - J'ai vengé le droit des rois et de toutes les puissances souveraines; car elles sont également attaquées, s'il est vrai, comme on le prétend, que le peuple domine partout, et que l'état populaire, qui est le pire de tous, soit le fond de tous les États.
Page 359 - La contrainte de la décence et la contrainte de la presse ont été les causes de la perfection de l'esprit, du goût, de la tournure chez les Français. Gardez l'une et l'autre, sans quoi vous êtes perdus.
Page 34 - Mais ces raisons cessent le plus souvent dans leurs disciples ou imitateurs, qui, se croyant déchargés de l'importune crainte d'une Providence surveillante et d'un avenir menaçant, lâchent la bride à leurs passions brutales, et tournent leur esprit à séduire et à corrompre les autres; et s'ils sont ambitieux et d'un...
Page 326 - Je meurs innocent de tous les crimes qu'on m'impute. Je pardonne aux auteurs de ma mort, et je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur la France.
Page 312 - réflexions sont faites; dites à la noblesse que « je la prie de se réunir :. si ce n'est pas assez « de ma prière, je le lui ordonne. Quant à moi, « je suis décidé à tous les sacrifices. A Dieu ne « plaise qu'un seul homme périsse jamais pour
Page 578 - Dieu a abrégé et fixé le temps de soixante-dix semaines en faveur de votre peuple et de votre ville sainte, afin que les prévarications soient abolies, que le péché trouve sa fin , que l'iniquité soit effacée, que la justice éternelle vienne sur la terre, que les visions et les prophéties soient accomplies, et que le Saint des saints soit oint...
Page 325 - Les bourreaux insistèrent; ils élevèrent la voix, et semblaient vouloir appeler du secours pour le faire de vive force. C'est ici le moment le plus affreux de cette désolante matinée : une minute de plus, et le meilleur des rois recevait, sous les yeux de ses sujets rebelles, un outrage mille fois plus insupportable que la...
Page 173 - ... commis par la presse, et sous le régime de la liberté de la presse. 3° La religion n'est point intéressée au projet de loi ; elle n'y trouve aucun secours : l'esprit du christianisme et le caractère de l'Église gallicane sont en opposition directe avec l'esprit du projet de loi. 4° La loi n'est point de ce siècle; elle n'est point applicable à l'état actuel de la société. J'entre dans l'examen de la première question. Nous avons, messieurs, depuis la restauration , six ordonnances...
Page 322 - qui parle), la permission d'entrer dans la prison du Roi, j'y « courus. A peine m'eut-il aperçu qu'il quitta un Tacite ouvert