Mais par quel prodige avais-tu, à l'âge de vingt-cinq ans, la vraie philosophie et la vraie éloquence, sans autre étude que le secours de quelques bons livres? Comment avais-tu pris un essor si haut dans le siècle des petitesses? et comment la simplicité... Oeuvres - Page 136by Thomas (M., Antoine Léonard) - 1792Full view - About this book
| Antonine [Sabatier (de Castres]), Antoine Sabatier de Castres - 1802 - 454 pages
...et la vraie éloquence , sans autre étude que le secours de quelques bons livres ? Comment avais-tu pris un essor si haut dans le siècle des petitesses ? et comment la simplicité d'un enfant touvrait-elle cette profondeur et cette force de génie ? » Puis il ajoute : « Le jeune homme qu'on... | |
| Vauvenargues, Jean Baptiste Antoine Suard - 1806 - 368 pages
...vraie éloquence , sans autre étude * que le secours de quelques bons livres ? « Comment avais-tu pris un essor si haut dans * le siècle des petitesses? Et comment la sim« pVicUé d'un enfant timide couvrait-elle cette « profondeur et cette force de génie ? Je sen«... | |
| Charles Lacretelle - 1808 - 448 pages
...vraie éloquence ? Sans » autre étude que le secours de quelques bons » livres, comment avais-tu pris un essor si haut » dans le siècle des petitesses? Et comment la sim» plicité d'un enfant timide couvrait-elle cette pro» fondeur et cette force de génie? Je sentirai... | |
| 1812 - 1028 pages
...n'étois point malheureux^ » et cette vertu ne te coûtoit point d'effort. Je » t'ai vu toujours le plus infortuné des hommes, » et le plus tranquille....essor si » haut dans le siècle des petitesses ? et conv» ment la simplicité d'un enfant timide cou» vroit-elle cette profondeur et cette force de »... | |
| Antoine-Léonard Thomas - 1812 - 252 pages
...n'étois « point malheureux'; et cette vertu ne te coùtoit « point d'effort Je t'ùi vu toujours le plus infortuné « des hommes, et le plus tranquille....essor si haut dans le siècle des petitesses ? et coma ment la simplicité d un enfant timide couvroit« 'elle cette profondeur et cette force de génie?... | |
| Charles-Jean-Dominique de Lacretelle (Le jeune) - 1812 - 438 pages
...vraie éloquence ? Sans autre » étude que le secours de quelques bons livres , » comment avais-tu pris un essor si haut dans le » siècle des petitesses...? Et comment la simplicité » d'un enfant timide couvrait-elle cette profondeur « et cette force de génie ? Je sentirai long-temps le » prix de ton... | |
| Thomas (M., Antoine Léonard) - 1819 - 306 pages
...n'étais point malheureux ; et cette. » \ertu ue te coûtait point d'effort' I« t'ai -, u » toujours le plus infortuné des hommes, et le » plus tranquille....philosophie et de son éloquence , il ajoute : « Comment avais-tu pris un essor si » haut dans le siècle des petitesses ? et <:omi' ment la simplicité d'un... | |
| Antoine Léonard Thomas - 1819 - 680 pages
...point d'effort. Je t'ai » vu toujours le plus infortuné des hommes, et le plus tran» quille. » Et après avoir parlé de son goût, de sa philosophie et de son éloquence , il ajoute : « Comment avais— tu pris un » essor si haut dans le siècle des petitesses ? et comment la sim— » plicité... | |
| Charles Lacretelle - 1819 - 440 pages
...vraie éloquence ? Sans autre » étude que le secours de quelques bons livres , com>• ment avais-tu pris un essor si haut dans le siècle des » petitesses? et comment la simplicité d'un enfant » timide couvrait -elle [cette profondeur et cette force » de génie ? Je sentirai long - temps le prix de... | |
| Antoine-Léonard Thomas - 1819 - 306 pages
...ne te coûtait point d'effort. Je t'ai vu » toujours le plus infortuné des hommes, et !'; » plns tranquille. » Et après avoir parlé de son goût...de sa philosophie et de son éloquence , il ajoute : n Comment avais-tu pris uu essor si » haut dans le siècle des petitesses? et com» ment la sim... | |
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