| Jean François Paul de Gondi de Retz - 1817 - 542 pages
...lesquels d'ailleurs on ne refusait rien ; et la Feuillade , frère de celui que vous voyez à la cour , disait qu'il n'y avait plus que quatre petits mots dans la langue française : lia Reine est si bonne ! Madame de Maignelai et M. de Lisieux demandèrent la coadjutorerie pour... | |
| 1825 - 464 pages
...refusoit rien. Et La Feuillade , père de celui que vous voyez à la cour , disoit qu'il n'y avoit plus que quatre petits mots dans la langue française : La Reine est si bonne! Madame de Maignelay et M. de Lizieux demandèrent la coadjutorerie pour moi 5 et la Reine la leur refusa... | |
| Jean François Paul de Gondi (card. de Retz.) - 1825 - 458 pages
...ne refusoit rien. Et La Feuillade, père de celui que vous voyez à la cour , disoit qu'il n'y avoit plus que quatre petits mots dans la langue française : La Reine est si bonne! Madame de Maignelay et M. de Lizieux demandèrent la coadjutorerie pour moi ; et la Reine la leur refusa,... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1825 - 460 pages
...ne refusoit rien. Et La Feuillade, père de celui que vous voyez à la cour , disoit qu'il n'y avoit plus que quatre petits mots dans la langue française : La Reine est si bonne ! Madame de Maignelay et M. de Lizieux demandèrent la coadjutorerie pour moi ; et la Reine la leur... | |
| Charles Athanase Walckenaer - 1842 - 566 pages
...enchantés de son gouvernement. Il ne leur refusait rien. 11 semblait, a dit l'un d'eux, qu'il n'y eût plus que quatre petits mots dans la langue française : « La reine est si bonne'! » Les prisons d'État s'ouvrirent ; les attributions des parlements furent respectées ; les princes... | |
| Charles Athanase Walckenaer - 1852 - 576 pages
...enchantés de son gouvernement. Il ne leur refusait rien. Il semblait, a dit l'un d'eux, qu'il n'y eût plus que quatre petits mots dans la langue française : « La reine est si bonne' I » Les prisons d'État s'ouvrirent ; les attributions des parlements furent respectées ; les princes... | |
| Adolphe Chéruel - 1850 - 252 pages
...Fronde ". Les courtisans se réjouissaient de cette anarchie. « Il n'ya plus, disait La Feuillade 7, que quatre petits mots dans la langue française : La reine est si bonne ! * SaintÉvremond chantait , dans la suite : Le temps de la bonne régence , Temps où rcgnoit une... | |
| Adolphe Chéruel - 1855 - 548 pages
...la Fronde. Les courtisans se réjouissaient de cette anarchie. « Il n'ya plus, disait La Feuillade, que quatre petits mots dans la langue française : La reine est si bonne! Saint-Évremond chantait dans la suite : Le temps de la bonne régence, Temps où régnoit une heureuse... | |
| Charles Athanase Walckenaer - 1856 - 562 pages
...enchantés de son gouvernement. Il ne leur refusait rien. Il semblait, a dit l'un d'eux, qu'il n'y eût plus que quatre petits mots dans la langue française : « La reine est si bonne ' ! » Les prisons d'État s'ouvrirent ; les attributions des parlements furent respectées; les princes... | |
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