Continuation des Essais de morale: Tome quatorzie'me. Premiere partie, contenant la vie de m. Nicole & l'histoire de ses ouvragesChez André Chevalier, 1732 - 280 pages |
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affez ainfi Alexandre VII Annat Arnauld auffi Auguftin avoient c'eft C'eſt c'étoit caufe cenfure Chartres chofes compofa confiderable connoître deffein Dieu Differtation difpute Docteur doctrine Ecclefiaftique Ecrit Effais efprit enfuite eſt étoient étoit faifoit faint falut fans fçavoir fecond felon fens fentimens fentiment feroit fervir feulement fieur fignature figner foin foit folidité font Formulaire fous fouvent fuite fuivant fujet fur la Grace fyftême Grace generale Hift Ibid imprimé Innocent XI intitulé Janfenius Jefuites l'efprit l'Eglife l'Evêque lett Lettre Lettres Provinciales Livre lumieres Madame Guyon maniere Memoire ment Miniftre Morale n'avoit n'eft nauld nerale Nicole avoit occafion Ouvrage paffer Pape particuliere penfées Pere perfonnes Perpetuité pieté plufieurs Pontchâteau Port-Royal pouvoit prefent prefque Prélat premiere Propofitions quatre Evêques raifons réfutation refuter Religieufes réponſe s'eft Sorbonne Teftament tems Theologie tion Traité troifiéme verité volume vûë Wendrock دو دو رو
Popular passages
Page 112 - ... qui me pourroit faire une pièce : ailleurs on me faisoit appréhender le gouverneur. Mais ce qui m'a été toujours le plus formidable partout, a été le dégoût et la timidité de mes hôtes. Au lieu des gens que vous savez que je voyois à Paris, j'ai été réduit premièrement à des personnes auprès de qui ni mon latin, ni mon françois, ni tout ce que je pouvois savoir en quelque art et en quelque science que ce fût, ne servoit de rien. Ensuite j'ai été assez longtemps avec les charrons...
Page 151 - Dieu et de la vérité. Adieu, aimez-moi toujours, et assurez-vous que je ne prendrai point de part à tous les caquets du monde, et, quelque parti que vous preniez , la petite peine que j'en pourrais avoir ne m'empêchera jamais de vous regarder comme mon ami à la mort et à la vie ', etc.
Page 145 - J'aurai toujours la reconnoiflance que je dois des affiftances que vous m'avez rendues; mais cela ne me donne pas droit de vous en demander de nouvelles ; & c'eft aflez que Dieu ne vous en donne pas la volonté , pour me faire accepter cette privation comme un ordre de fa providence. Je n'approuve donc point que l'on parle de vous comme l'on fait, & je trouve fur-tout qu'on a grand tort de le faire de la lettre à M.
Page 203 - Le roi demanda si elle étoit belle : M. de Louvois répondit que c'étoit la plus belle chose du monde. En même temps, on entendit dans la chambre du roi une espèce de murmure confus contre M.
Page 33 - ... de plus près la belle nature. Il lui enseigna ensuite la Philosophie et lui expliqua sur la Logique tout ce qui a été donné depuis au public, mais dans une occasion différente, sous le titre de VArt de Penser.
Page 167 - Papifte 3 & n'expliquant point à qui elle attribuoit de s'être fervi de ce terme. Il n'en fallut pas davantage à ceux à qui elle fit ce rapport , pour attribuer pofirivement à M.
Page xvii - Évêques de France, sur la surprise qu'on prétend faire au Pape, pour lui faire donner quelque atteinte au Mandement de Messieurs les Vicaires Généraux de Monseigneur le Cardinal de Retz, archevêque de Paris [1661], pp.
Page 156 - N'at-il pas rendu d'aflez grands fervices pour lui en favoir gré , & ne le pas traiter comme un efclave qui n'auroit pas la liberté de faire ce qu'il lui plairoit ? Il a de très-belles vues , & qui font de la dernière importance ; & au lieu d'y entrer , & de lui donner moyen de les fuivre , on voudroit qu'il s'appliquât à des chofes auxquelles...
Page 147 - Voilà à quoi la prudence humaine & chrétienne nous oblige ordinairement , de n'aller point contre le torrent , & de ne s'attirer point de fâcheufes affaires If.
Page 122 - Se condamné d'un confentemenr univerfc! par les gens du monde & les amis , à n'être plaint ni défendu de perfonne , à coucher fur la paille avec la fièvre dans des trous creufés fous les rochers de la Meufe , en vérilé cela m'auroit fait peur. Cependant cela e(l parte, & n'efl pas fi grand'chofe qu'on pourroit croire.