...abîme !... Ce fut pour moi comme un cauchemar. J'avais la gorge serrée... Je voulais me lever... j'étais clouée sur mes genoux, la tête brisée...planait sur moi et me desséchait comme un vent d'orage. » 1 Voir la noie du tome XI, page 215 Nous- cherchions le roman... Ah ! certes, il n'ya plus à s'y...

...abîme !... Ce fut pour moi comme un cauchemar. J'avais la gorge serrée... Je voulais me lever... j'étais clouée sur mes genoux, la tête brisée et courbée par cette voix qui planait sur moi et nie desséchait comme un vent d'orage. » 1 Voir la noie du tome XI, page 2I3 Nous cherchions le roman......

...sur une enfant de treize ans : « J'avais la gorge serrée, je sentais la sueur me couler du front ; je voulais interrompre, je voulais me lever, m'en...planait sur moi et me desséchait comme un vent d'orage. » Enfin elle put regagner sa chambre, mais ce fut pour tomber dans une effroyable convulsion de larmes...

...j'avais la gorge serrée ; chaque parole me faisait mourir ; je sentais la sueur me couler du front ; je voulais interrompre ; je voulais me lever, m'en aller, repousser avec horreur cette effroyable conf1dence ; je ne pouvais pas; j'étais clouée sur mes genoux, la tête brisée et courbée par cette...

...sur une enfant de •eize ans : « J'avais la gorge serrée, je sentais la sueur me couler u front; je voulais interrompre, je voulais me lever, m'en...planait sur moi et me desséchait comme un vent d'orage. » Enfin elle put regagner sa chambre, mais ce fut pour tomber dans une effroyable convulsion de larmes...

...j'avais la gorge serrée; chaque parole me faisait mourir; je sentais la sueur me couler du front; je voulais interrompre; je voulais me lever, m'en...sur moi et me desséchait comme un vent d'orage... (i). » Comment une femme, si réellement bonne, et si mesurée, se laissa-t-elle emporter à un tel...