Mon mari, plus indulgent, me jugea idiote. Il n'avait peut-être pas tort, et peu à peu il arriva, avec le temps, à me faire tellement sentir la supériorité de sa raison et de son intelligence, que j'en fus longtemps écrasée et comme hébétée... Histoire de ma vie... - Page 427by George Sand - 1876Full view - About this book
| Cuvillier-Fleury (M., Alfred-Auguste) - 1859 - 412 pages
...Tranquille. Plus tard son mari la jugeait nidiote. » — « ... Il n'avait peut-être pas tort, écritelle, et peu à peu il arriva, avec le temps, à me faire...devant le monde. Je ne m'en plaignis pas. Deschartres (son précepteur) m'avait habituée à ne pas contredire violemment l'infaillibilité d'autrui, et... | |
| Cuvillier-Fleury (M., Alfred-Auguste) - 1859 - 416 pages
...Plus tard son mari la jugeait « idiote. » — « ... Il n'avait peut-être pas tort, écritelle, et peu à peu il arriva, avec le temps, à me faire...devant le monde. Je ne m'en plaignis pas. Deschartres (son précepteur) m'avait habituée à ne pas contredire violemment l'infaillibilité d'autrui, et... | |
| Alfred-Auguste Cuvillier-Fleury - 1859 - 414 pages
...Plus tard son mari la jugeait « idiote. » — « ... Il n'avait peut-être pas tort, écritelle, et peu à peu il arriva, avec le temps, à me faire...hébétée devant le monde. Je ne m'en plaignis pas. Descharlres (son précepteur) m'avait habituée à ne pas contredire violemment l'infaillibilité d'autrui... | |
| Emile Moselly - 1911 - 228 pages
...comprenait pas, maugréait contre ces langueurs. Suprême iro1rie, il la trouvait stupide : « Mon mari 4 me jugea idiote. Il n'avait peut-être pas tort et, peu à peu il arriva à me faire tellement sentir la supériorité de sa raison et de son intelligence, que j'en fus longtemps... | |
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