 | René François Rohrbacher - 1845 - 616 pages
...médecins qui me virent durant les deux premiers mois me mirent presque à l'extrémité; et ce mal de cœur si extraordinaire, pour lequel on me traitait...que l'on appréhendait que l'excès d'une douleur si insupportahle ne passât jusqu'à la rage. La fièvre ne me quittait point; les médecines que l'on... | |
 | Nestor Charbonnier - 1875 - 320 pages
...médecins qui me virent pendant les deux premiers mois me mirent presque à l'extrémité, et ce mal de cœur si extraordinaire, pour lequel on me traitait,...avec des ongles de fer; et il me mettait dans un tel élat qu'on appréhendait que l'excès d'une telle douleur ne passât jusqu'à la rage. La fièvre... | |
 | 1902 - 400 pages
...médecins qui me virent durant les deux pre« miers mois me mirent presque à l'extrémité : et ce mal de cœur si « extraordinaire, pour lequel on me traitait,...données sans discontinuation durant un mois m'avaient si extrémey « ment abattue que j'étais réduite à ne pouvoir prendre que des bouil« Ions : le feu... | |
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J'eus durant trois mois de très-grandes douleurs au lieu dont je viens de parler, parce que les remèdes étaient plus forts que 1a délicatesse de ma complexion ne pouvait porter. Les médecins qui me virent durant les deux premiers mois me mirent presque... 