La province du Maine: feuille hebdomadaire, religieuse, littéraire et archéologiqueGallienne., 1849 |
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25 cent 50 cent ALMANACH année bige CAESAR cathédrale cathédrale du Mans catholique chanoines chapelle Charte château chrétien cœur comte du Mans concerne la rédaction Concile Couture D'ABONNEMENT Dieu diocèse Dioscures donner dudit ecclésiastique éditeur-propriétaire église évêque du Mans Famille plébéienne femme FEUILLE HEBDOMADAIRE fief fils François Ier frère Geoffroy Guillaume historiques Imprimerie de GALLIENNE INSERTIONS Jean jour l'abbaye de Saint-Vincent l'abbé l'an l'église l'évêque l'official du Mans latin Laval Librairie de GALLIENNE livres livres tournois Lucius maison mansais Mayenne médaille ment Messieurs mois monétaire monnaies monuments mort nommé curé nommé vicaire Original Paille Parchemin paroisse pierre place plébéienne porte pré Président prêtre prieur PROVINCE DU MAINE rente reste Revers Rome casquée Rorik S'adresser pour l'abonnement saint Saint-Benoît Saint-Calais Saint-Vincent Sarthe scel perdu seigneur sieur Société style terre Tête de Rome tion tour tournois travail vénérable Vierge vigne vitraux XIIe siècle
Popular passages
Page 28 - Mes jambes et mes cuisses ont fait premièrement un angle obtus, et puis un angle égal, et enfin un aigu. Mes cuisses et mon corps en font un autre, et ma tête se penchant sur mon estomac, je ne ressemble pas mal à un Z.
Page 28 - J'ai la vue assez bonne, quoique les yeux gros; je les ai bleus; j'en ai un plus enfoncé que l'autre, du côté que je penche la tête. J'ai le nez d'assez bonne prise. Mes dents, autrefois perles carrées, sont de couleur de bois et seront bientôt couleur d'ardoise. J'en ai perdu une et demie du côté gauche, et deux et demie du côté droit, et deux un peu égrignées.
Page 28 - J'ai trente ans passés; si je vais jusqu'à quarante, j'ajouterai bien des maux à ceux que j'ai déjà soufferts depuis huit à neuf ans. J'ai eu la taille bien faite, quoique petite : ma maladie l'a raccourcie d'un bon pied, Ma tête est un peu grosse pour ma taille : j'ai le visage assez plein pour avoir le corps très-décharné.
Page 287 - XI, qui remplit aujourd'hui * si dignement le premier siège de l'Église, on remonte sans interruption jusqu'à saint Pierre, établi par Jésus-Christ prince des apôtres : d'où, en reprenant les pontifes qui ont servi sous la loi, on va jusqu'à Aaron et jusqu'à Moïse ; de là jusqu'aux patriarches, et jusqu'à l'origine du monde ! Quelle suite, quelle tradition, quel enchaînement merveilleux!
Page 84 - ... l'effusion habituelle de son cœur maternel, écarter de Nous, par son instante et toute-puissante protection auprès de Dieu, les tristes et lamentables infortunes, les cruelles angoisses, les peines et les nécessités dont Nous souffrons, détourner les fléaux du courroux divin qui Nous affligent à cause de Nos péchés, apaiser et dissiper les effroyables tempêtes de maux dont l'Eglise est assaillie de toutes parts, à l'immense douleur de Notre âme, et changer enfin Notre deuil en joie.
Page 28 - J'ai les bras raccourcis aussi bien que les jambes, et les doigts aussi bien que les bras. Enfin je suis un raccourci de la misère humaine. Voilà à peu près comme je suis fait: puisque je suis en si beau chemin, je te vais apprendre quelque chose de mon humeur: j'ai toujours été un peu colère, un peu gourmand et un peu paresseux.
Page 287 - ... beaucoup de choses, et surtout elles l'imitent en disant, comme elle , que c'est Dieu qui les a fondées ; mais ce discours en leur bouche n'est qu'un discours en l'air. Car si Dieu a créé le genre humain; si, le créant à son image, il n'a jamais dédaigné de lui enseigner le moyen de le servir et de lui plaire , toute secte qui ne montre pas sa succession depuis l'origine du monde n'est pas de Dieu...
Page 140 - Elle a le rosier blanc qu'une abeille caresse, Et la prière tendre, et le chant des oiseaux. Tous les deux font rêver même l'indifférence ; A l'amour du penseur ils ont partout des droits, Ils sont pleins de sommeil, de paix et d'espérance : Sur l'un veille une mère, et sur l'autre une croix. Ils parlent tous les deux d'une aurore vermeille, L'un à l'enfant naissant, et l'autre à l'homme mort. Le berceau donne un monde à l'enfant qui s'éveille, La tombe donne un ciel au juste qui s'endort.
Page 99 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse ou de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la Nation, à la Loi et au Roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le Roi.
Page 140 - LE BERCEAU ET LA TOMBE. Le berceau de l'enfant a le rideau de gaze, Le doux balancement du genou maternel, Et les songes légers, et la première extase Qui rayonne aux fronts purs comme un astre éternel. La tombe a le gazon qui la couvre et la presse, Elle a le saule vert qui penche ses rameaux, Elle a le rosier blanc qu'une abeille caresse, Et la prière tendre, et le chant des oiseaux.