Rabelais: étude sur le seizième siècle |
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Popular passages
Page 108 - ... par péché. Aie suspects les abus du monde. Ne mets ton cœur à vanité*, car cette vie est transitoire, mais la parole de Dieu demeure éternellement. Sois serviable à tous tes prochains et les aime comme toi-même. Révère tes précepteurs, fuis les compagnies de gens esquels tu ne veux point ressembler, et, les grâces que Dieu t'a données, icelles ne reçois en vain.
Page 107 - Et quant à la connaissance des faits de nature, je veux que tu t'y adonnes curieusement, qu'il n'y ait mer, rivière ni fontaine dont tu ne connaisses les poissons...
Page 65 - Nageait en eau profonde, à l'endroit, à l'envers, de côté, de tout le corps, des seuls pieds, une main en l'air, en laquelle, tenant un livre, transpassait toute la rivière de Seine sans icelui mouiller...
Page 96 - Evangile En sens agile annoncez, quoy qu'on gronde : Céans aurez un refuge et bastille Contre l'hostile erreur, qui tant postille Par son faulx stile empoisonner le monde : Entrez, qu'on fonde icy la foy profonde.
Page 211 - Elle est bien ; elle est en paradis pour le moins, si mieux n'est. Elle prie Dieu pour nous ; elle est bien heureuse ; elle ne se soucie plus de nos misères et calamités. Autant nous en pend à l'œil. Dieu gard' le demeurant ! Il me faut penser d'en trouver une autre.
Page 169 - Homme de bien, lui dit-elle, frappe, féris, tue et meurtris tous rois et princes du monde, en trahison, par venin ou autrement, quand tu voudras; déniche des cieux les anges ; de tout auras pardon du papegaut : à ces sacrés oiseaux ne touche...
Page 75 - ... de vigiles, pour tout dire sommairement vrai moine si oncques en fut depuis que le monde moinant moina de moinerie ; au reste clerc jusques es dents en matière de bréviaire.
Page 185 - J'ay, ce jourd'huy, qui est le dernier et de May et de moy, hors ma maison, à grande fatigue et difficulté, chassé un tas de villaines, immondes et pestilentes bestes, noires, guarres, fauves, blanches, cendrées, grivolées ; les quelles laisser ne me vouloient à mon aise mourir...
Page 71 - La raison le veult ainsi : car de leur labeur je suis entretenu, et de leur sueur je suis nourry, moy, mes enfans et ma famille.
Page 210 - ... [Et ce disant pleuroit comme une vache, mais tout soubdain rioit comme un veau, quand Pantagruel luy venoit en mémoire : « Ho mon petit filz (disoit il) mon coillon, mon peton, que tu es joly, et tant je suis tenu à Dieu de ce qu'il m'a donné un si beau filz, tant joyeux, tant riant, tant joly.