| 1913 - 536 pages
...Magnificat, La Muse qui est la Grâce, and La Maison fermée. In La Muse qui est la Grâce, I read : Les mots que j'emploie. Ce sont les mots de tous les...rimes dans mes vers, ni aucun sortilège. Ce sont vos phrase» mêmes. Pas aucune de vos phrases que je ne sache reprendre ! Ces fleurs sont vos fleurs et... | |
| Georges Duhamel - 1919 - 456 pages
...odes, est en effet dépourvu de rimes. Cœuvre le disait, Claudel lui même le répète. Il écrit : « Vous ne trouverez point de rimes dans mes vers ni aucun sortilège (i). » Ce n'est pas vrai pour toute l'œuvre lyrique de Claudel. Les versets qui composent les Hymnes... | |
| René Lalou - 1923 - 734 pages
...Cantate à trois voix ou tel passage des Odes qui renouvellent la musique de la poésie française : Les mots que j'emploie, Ce sont les mots de tous les jours, et ce ne sont point les mêmes 1 Vous ne trouverez point de rimes dans mes vers ni aucun sortilège. Ce sont vos phrases mêmes. Pas... | |
| René Lalou - 1928 - 824 pages
...Cantate à trois voix ou tel passage des Odes qui renouvellent la musique de la poésie française : Les mots que j'emploie, Ce sont les mots de tous les...Pas aucune de vos phrases que je ne sache reprendre 1 Ces fleurs sont vos fleurs et vous dites que vous ne les reconnaissez pas. Et ces pieds sont vos... | |
| André Billy - 1928 - 274 pages
...Laissez-moi seulement mettre mes sandales d'or. Je n'ai pas besoin de tout cet attirail qu'il lui faut. Je ue demande pas que vous vous bouchiez les yeux. Les mots...Ce sont les mots de tous les jours, et ce ne sont pas les mêmes. Paul Claudel est un pur lyrique, qu'il compose un poème en l'honneur de Verlaine ou... | |
| Paul Bensimon, Didier Coupaye - 1998 - 284 pages
...donner un simulacre de la réalité. Comme le dit Claudel dans un passage de la quatrième Grande Ode : "Les mots que j'emploie, ce sont les mots de tous les jours, et ce ne sont point les mêmes". Il reste donc un noyau irréductible d'intraduisibilité. Le traducteur est soumis à une double exigence... | |
| Jacques Borel - 1998 - 388 pages
...serait tout proche, j'imagine, de celui-là, dans La Muse qui est la Grâce, qu'énoncé Claudel : Les mots que j'emploie, Ce sont les mots de tous les jours, et ce ne sont point les mêmes ! [. . .] Ce sont vos phrases mêmes. Pas aucune de vos phrases que je [ne sache reprendre ! Et ce... | |
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