Dictionnaire de philosophie ancienne, moderne et contemporaineP. Lethielleux, 1909 - 16 pages |
Other editions - View all
Common terms and phrases
absolu acte animaux Aristote Athènes atomes Averroès bonheur c'est-à-dire cartésianisme cause finale choses chrétienne ciple Citons connaissance conscience consiste corps créature d'Aristote Descartes déterminer Dieu disciple distinction distingue divine doctrine effet enseigna Epicure espèces essence facultés fond forme substantielle général Hégel humaine idées intellectuelle Kant l'acte l'âme l'école l'Eglise l'esprit l'essence l'être l'existence l'homme l'idée l'intelligence latin Leibniz libre arbitre logique lois losophie Malebranche manière matière ment métaphysique méthode monde morale mort nature naturelle nisme objet œuvres opposé organes ouvrages panthéisme particulier passions pensée perfection philo philoso philosophe grec physique Platon Plotin plutôt politique positivisme première principe professa proposition propre psychologie publié puissance raison rapport réalité réel réfutation religion science scolastique sens sensation sensible serait seulement siècle sociale Socrate sophie sorte stoïciens substance sujet surtout syllogisme système tence théisme théodicée théologie théorie thèse Thomas tielle tion universelle ve siècle av vérité vertu volonté vrai
Popular passages
Page 17 - L'admiration est une subite surprise de l'âme, qui fait qu'elle se porte à considérer avec attention les objets qui lui semblent rares et extraordinaires. Ainsi elle est causée premièrement , par l'impression qu'on a dans le cerveau , qui représente l'objet comme rare et par conséquent digne d'être fort considéré...
Page 837 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres.
Page 459 - ... héréditaire la direction partagée de ses destinées, mais n'y ayant pas réussi, par des fautes impossibles à juger aujourd'hui, prend enfin le parti de se régir ellemême, elle seule, par ses élus librement, sagement désignés, sans acception de...
Page 1035 - Nous passons à présent à un autre point de lu question d'une importance non moins grande et qui, pour éviter tout extrême, demande à être défini avec justesse : Nous voulons parler de la fixation du salaire. Le salaire, ainsi raisonne-t-on, une fois librement consenti de part et d'autre, le patron en le payant a rempli tous ses engagements et n'est plus tenu à rien. Alors seulement la justice se trouverait lésée si lui refusait de tout solder, ou l'ouvrier d'achever tout son travail et...
Page 183 - C'est vous qui l'engagez à chercher sa joie dans vos louanges, car vous nous avez faits pour vous et notre cœur est inquiet jusqu'à ce qu'il se repose en vous.
Page 201 - Conciliation du véritable Déterminisme mécanique avec l'existence de la Vie et de la Liberté morale.
Page 299 - Comme rien ne peut exister s'il ne réunit les conditions qui rendent son existence possible, les différentes parties de chaque être doivent être coordonnées de manière à rendre possible l'être total, non...
Page 425 - Jai trouve souvent que la plupart des sectes ont raison dans une bonne partie de ce quelles avancent, mais non pas en ce quelles nient...
Page 1035 - D'une manière générale, que le riche et le patron se souviennent qu'exploiter la pauvreté et la misère, et spéculer sur l'indigence, sont choses que réprouvent également les lois divines et humaines...
Page 1035 - Que le patron et l'ouvrier fassent donc tant et de telles conventions qu'il leur plaira, qu'ils tombent d'accord notamment sur le chiffre du salaire. Au-dessus de leur libre volonté, il est une loi de justice naturelle plus élevée et plus ancienne, à savoir, que le salaire ne doit pas être insuffisant à faire subsister l'ouvrier sobre et honnête.