| Auguste Le Barbier de Blignières - 1851 - 508 pages
...son Plutarque. C'est ainsi que Henri IV écrivait à la reine : Ma bonne mère à laquelle je doibs tout, et qui avait une affection si grande de veiller à mes bons départements, et ne voulait pas (ce disaitelle) voir en son fili un illustre ignorant, me mit ce livre... | |
| Jung - 1855 - 368 pages
...m'auriez rien su mander qui me fût plus agréable que la nouvelle du plaisir de lectures qui vous a pris. Plutarque me sourit toujours d'une fraîche nouveauté;...c'est m'aimer; car il a été l'instituteur de mon bas-âge. Ma bonne mère, à qui je dois tout, et qui avoit une affection si grande de veiller h mes... | |
| Eugène Jung, Godefroy Eugéne Yung - 1855 - 526 pages
...mander qui me fût plus agréable que la nouvelle du plaisir de lectures qui vous a pris. Plutarquè me sourit toujours d'une fraîche nouveauté; l'aimer,...c'est m'aimer; car il a été l'instituteur de mon bas-âge. Ma bonne mère, à qui je dois tout, et qui avoit une affection si grande de veiller à mes... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1856 - 452 pages
...m'auriez rien su mander qui me fût plus agréable que la nouvelle du plaisir de lecture qui vous a pris. Plutarque me sourit toujours d'une fraîche nouveauté...tout, et qui avait une affection si grande de veiller i mes bons déportements, et ne vouloir pas, ce disait-elle, voir en son fils un illustre ignorant,... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1856 - 458 pages
...su mander qui me fût plus agréable que la nouvelle du plaisir de leclure qui vous a pris.Plutarque me sourit toujours d'une fraîche nouveauté; l'aimer...été l'instituteur de mon bas âge. Ma bonne mère, a qui je dois tout, et (|iii avait une affection si grande de veiller à mes bons déportemenls, et... | |
| Eugène Ernest Desplaces - 1857 - 672 pages
...Marie de Médias : и Plutarque me souryt toujours d'une fraische nouveauté i l'aymer, c'est m'aymer ; car il a été l'instituteur de mon bas âge. Ma bonne mère, & la quelle je dois tant, et quiavoit une aJlection si grande de veiller à mes bons déportemcnts,... | |
| Jacques Demogeot - 1859 - 522 pages
...m'auriez rien su mander qui me fût plus agréable que la nouvelle du plaisir de lectures qui vous a pris. Plutarque me sourit toujours d'une fraîche nouveauté...grande de veiller à mes bons déportements, et ne vouloit pas , ce disait-elle, faire de son fils un illustre ignorant, me mit ce livre entre les mains,... | |
| Jacques Demogeot - 1859 - 524 pages
...lectures qui vous a pris. Plutarque me sourit toujours d'une fraîche nouveauté : l'aimer c'est m'aimers car il a été l'instituteur de mon bas âge. Ma bonne...grande de veiller à mes bons déportements, et ne vouloit pas , ce disait-elle, faire de son fils un illustre ignorant, me mit ce livre entre les mains,... | |
| Jules Jolly - 1860 - 442 pages
...car » il a été l'instituteur de mon bas age. Ma bonne mère à » qui je doibs tout et qui avoit une affection si grande de » veiller à mes bons déportements et ne vouloyr pas, se » disoit-elle, faire de son fils un illustre ignorant, me rnist » ce livre entre... | |
| Académie des sciences morales et politiques (France) - 1860 - 506 pages
...que la nouvelle du plaisir de lectures qui vous à prins. Plutarque me sourit toujours d'une fresche nouveauté; l'aimer, c'est m'aimer, car il a été l'instituteur de mon bas aage. Ma bonne mère , à qui je doibs tant , et qui avoit une affection si grande de veiller à mes... | |
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