 | Henry IV (King of France) - 1803 - 444 pages
...leva le samedy matin , dina debout , et puis joua aux échecs ; il se leva de sa chaise , se mit à promener par sa chambre , devisant avec l'un et l'autre ; tout d'un coup il dit : Baillés-moy ma chaise, je sens une grande foiblesse. Il ne fut pas assis , qu'il perdit la parole... | |
 | V. Adolphe Revel - 1815 - 618 pages
...aux échees. II se leva de sa chaise, se mit à se promener par sa chambre, devisant avec l'un, avec l'autre. Tout d'un coup , il dit : baillez-moi ma chaise, je sens une grande faiblesse. Il ne fut pas à peine assis qu'il perdit la parole, et soudain après il rendit l'âme assis. Les... | |
 | L. Laurent Prault - 1816 - 458 pages
...il se leva le samedi matin, dîna debout, et puis joua aux échecs; il se leva de sa chaise, se mit à se promener par sa chambre, devisant avec l'un...Baillezmoi ma chaise, je sens une grande faiblesse. Il ne fut assis , qu'il perdit la parole , et soudain après il rendit l'âme assis : les marques de... | |
 | Voltaire - 1820 - 546 pages
...coup il dit , « Baille7.-moi » ina chaise , ie seus une grande faiblesse » : il ne fut pasassis qu'il perdit la parole, et soudain après il rendit l'âme assis. Les marques du poison sortirent soudain; il n'est pas croyable l'étonnement que cela a porte en ce pays-là. Je... | |
 | Voltaire - 1821 - 496 pages
...l'autre : tout d'un coup il dit , baillez - moi ma chaise , je sens une grande faiblesse ; il ne fut pas assis qu'il perdit la parole , et soudain après il rendit l'âme assis. Les marques du poison sortirent soudain ; il n'est pas croyable létonnement que cela a porté en ce pays-là.... | |
 | Voltaire - 1827 - 502 pages
...l'autre : tout d'un coup il dit , baillez - moi ma chaise , je sens une grande faiblesse ; il ne fut pas assis qu'il perdit la parole , et soudain après il rendit l'âme assis. Les marques du poison sortirent soudain ; il n'est pas croyable létonnement que cela a porté en ce pays-là.... | |
 | Voltaire - 1829 - 582 pages
...matin, dîna debout, et puis joua aux échecs ; il se leva de sa chaise 3, se mit à se promener 4 par sa chambre , devisant avec l'un et l'autre : tout...baillez-moi ma chaise, je sens une grande faiblesse; il ne fut pas assis5 qu'il perdit la parole, et soudain après il rendit l'ame assis. Les marques du... | |
 | Voltaire - 1830 - 590 pages
...1588. d'un coup il dit, »Bail]ez-moi ma chaise, je VSUMS une grande faiblesse :« il ne l'ut p;\s assis qu'il perdit la parole, et soudain après il rendit l'âme assis. Les marques du poison sortirent soudain; il n'est pas croyable l'étonnement que cela a porté en ce pays-là.... | |
 | Voltaire - 1835 - 520 pages
...se leva le samedi matin, dîna debout, et puis joua aux échecs : il se leva de sa chaise , se mit à se promener par sa chambre, devisant avec l'un...Baillez-moi ma chaise, je sens une grande faiblesse : il ne fut pas assis qu'il perdit la parole , et soudain après il rendit l'ame assis. Les marques... | |
 | Henri IV (roi de France) - 1843 - 694 pages
...l'un et l'autre. Tout d'un coup il dit : « Baillés-moy ma chaize, je sens une grande foiblesse. » II n'y fut assis qu'il perdit la parole , et soudain après il rendit l'âme , 1 Mènerai fait de lui cet éloge : a Le party toit la vaillance , ou la libéralité , ou la gédes... | |
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... il demeura au lit; le soir il soupa, et ayant bien dormi, il se leva le samedi matin, dîna debout, et puis joua aux échecs; il se leva de sa chaise, se mit à... 
