Œuvres complètes de Voltaire, Volume 15la Société littéraire-typographique, 1785 |
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Adieu adreffe affez affurément afile aimable aime ainfi Alteffe Apollon auffi avez beaux belle bontés c'eft c'eſt chanter charmant cher ami cher Cideville chofe Cirey complimens confeil conferver confolation d'Argental daignez Deffant Dieu Dieux dife digne dire doux efprit Emilie envoyé épître eſpèce eſt êtes fage faint fais fans doute fanté favez favoir fecret fefait féjour femble fens fentiment ferait Ferney fervir feule fiècle fociété foit fommes font Formont fottifes fouper fous fouvent fuis fujet furtout gens goût heureux homme j'ai j'aime j'aurai j'avais jamais jufte l'abbé l'amitié l'Amour l'efprit l'honneur laiffer LETTRE LX long-temps MADAME DE POMPADOUR Madame Denis Madame du Châtelet mademoiſelle MARQUIS DE VILLETTE meffieurs Monfieur mufe n'ai n'eft n'eſt Newton paffer parler penfe penſe perfonne philofophe plaifir plaifirs plaire plaiſirs poëfie poëte préfent raiſon refpect refte réponſe rien rois s'eft ſon talens tendre tendreffe trifte Voilà Voltaire
Popular passages
Page 191 - Si vous voulez que j'aime encore, Rendez-moi l'âge des amours : Au crépuscule de mes jours Rejoignez, s'il se peut, l'aurore. Des beaux lieux où le dieu du vin Avec l'amour tient son empire, Le temps, qui me prend par la main, M'avertit que je me retire. De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage.
Page 37 - Une beauté qu'on nomme Rupelmonde, Avec qui les Amours et moi , Nous courons depuis peu le monde , Et qui nous donne à tous la loi , Veut qu'à l'instant je vous écrive. Ma muse, comme à vous, à lui plaire attentive, Accepte avec transport un si charmant emploi.
Page 421 - Ici gît, ou plutôt frétille, Voisenon, frère de Chaulieu. A sa muse vive et gentille Je ne prétends point dire adieu ; Car je m'en vais au même lieu, Comme un cadet de la famille.
Page 222 - Sincère et tendre Pompadour, Car je peux vous donner d'avance Ce nom qui rime avec l'amour Et qui sera bientôt le plus beau nom de France, Ce tokai, dont Votre Excellence Dans Étiolles me régala, N'at-il pas quelque ressemblance Avec le Roi qui le donna?
Page 409 - Vous ne pouvez empêcher cet hommage , Faible tribut de quiconque a des yeux. C'est aux mortels d'adorer votre image; L'original était fait pour les dieux. .J'ai entendu plusieurs morceaux de la Pandore de M. de La Borde; ils m'ont paru bien dignes de votre protection. La faveur donnée aux véritables beauxarts est la seule chose qui puisse augmenter l'éclat dont vous brillez.
Page 341 - Je ne recueillais de ma vigne Qu'un peu de vin grossier et plat ; Mais un gourmet l'a rendu digne Du palais le plus délicat. Ma bague était fort peu de chose ; On la taille en beau diamant : Honneur à l'enchanteur charmant Qui fit cette métamorphose ! Vous sentez bien , monsieur Vévêque de Montrouge , à qui sont adressés ces mauvais vers.
Page 329 - On ne va qu'à tâtons sur la machine ronde On a les yeux bouchés à la ville, à la cour. Plutus, la fortune et l'amour Sont trois aveugles nés qui gouvernent le monde.
Page 72 - Au reste, je m'y prendrai avec précaution, et je ne critiquerai que les endroits qui ne seront point tellement liés avec notre sainte religion qu'on ne puisse déchirer la peau de Pascal sans faire saigner le christianisme.