La propriété et la communauté des biens depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours, Volume 2

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Berche et Tralin, 1869 - 2 pages
 

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Popular passages

Page 307 - Ne faites pas à autrui ce que vous ne voudriez pas qu'on vous fît. * Faites constamment aux autres le bien que vous voudriez en recevoir.
Page 40 - La loi agraire ou le partage des campagnes fut le vœu instantané de quelques soldats sans principes, de quelques peuplades mues par leur instinct plutôt que par la raison. Nous tendons à quelque chose de plus sublime et de plus équitable, le bien commun ou la communauté des biens ! Plus de propriété individuelle des terres, la. terre n'est à personne. Nous réclamons, nous voulons la jouissance...
Page 308 - ... de la nature divine et de la nature humaine dans le Christ, sur le péché irrémissible.
Page 204 - Le gouvernement serait considéré comme le régulateur suprême de la production , et investi , pour accomplir sa tâche, d'une grande force. Cette tâche consisterait à se servir de l'arme même de la concurrence pour faire disparaître la concurrence. Le gouvernement lèverait un emprunt , dont le produit serait affecté à la création d'ateliers sociaux, dans les branches les plus importantes de l'industrie nationale.
Page 47 - Vous avez vu à présent de quelle vaste confiance je suis le centre ; vous avez vu que mon parti peut bien balancer le vôtre ; vous avez vu quelles immenses ramifications y tiennent. J'en suis presque convaincu, cet aperçu vous a fait trembler. « Est-il de votre intérêt, est-il de l'intérêt de la patrie de donner de l'éclat à la conjuration que vous avez découverte ? Je ne le pense pas.
Page 365 - ... et celui d'en disposer après sa mort , qu'il n'y en a entre la Vie et la mort même. Cet abîme ouvert par la nature sous les pas de l'homme , engloutit également ses droits avec lui , de manière qu'à cet égard être mort ou n'avoir jamais vécu , c'est la même chose.
Page 367 - Il me semble, messieurs, qu'il n'ya pas moins de différence entre le droit qu'a tout homme de disposer de sa fortune pendant sa vie, et celui d'en disposer après sa mort, qu'il n'y en a entre la vie et la mort même. Cet abîme ouvert par la nature sous les pas de l'homme, engloutit également ses droits avec lui; de manière qu'à cet égard, être mort, ou n'avoir jamais vécu, c'est la même chose.
Page 42 - Le moment des grandes mesures est arrivé. Le mal est à son comble. Il couvre la face de la terre. Le chaos, sous le nom de politique, y règne depuis trop de siècles. Que tout rentre dans l'ordre et reprenne sa place.
Page 27 - C'est-à-dire que tous doivent supporter une égale portion de travail et en retirer une égale quantité de jouissances. La justice de ce principe découle des preuves des articles 1 et 3 ci-dessus. Mais qu'entend-on par communauté de travail ? Veut-on que tous les citoyens soient astreints aux mêmes occupations ? Non ; mais on veut que les différents travaux soient répartis de manière à ne laisser un seul valide oisif ; on veut que l'augmentation du nombre des...
Page 20 - Sur la foi de cet oracle, il déclare qu'il n'y a point à craindre, en marchant à la conquête de l'égalité, de guerre civile comparable aux luttes d'homme à homme et de peuple à peuple qu'entretient l'état présent. Puisqu'on n'a pas hésité devant des guerres sans nombre pour maintenir la violation des lois de la nature,, comment pourrait-on balancer devant la guerre sainte et vénérable qui aurait pour objet leur rétablissement?

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