Mémoires sur l'état présent de la Grande Russie ou Moscovie, Volume 1

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Popular passages

Page iii - Von traite du gouvernement civil et ecclesiastique de ce pays, des troupes de terre et de mer du Czar, de ses finances et de la manière dont il les a réglées, des divers moyens qu'il a...
Page 302 - L'aflemblée ne pourra commencer avant quatre ou cinq heures après midi, ni durer au-delà de dix heures. 3°- Le Maître de la maifon ne fera pas obligé d'aller...
Page 150 - Cronflot, où nous le fuivimes dans une galère; mais une tempête qui s'éleva tout d'un coup , nous obligea de demeurer à l'ancre deux jours & trois nuits dans ce vaiffeau découvert , fans feu, fans lits & fans provifîons.
Page 304 - Chacun la tient à fon tour , & il n'ya pas de Seigneur à la Cour qui n'en tienne au moins une pendant l'hiver. Lorfque le Czar choifit quelqu'un en particulier pour cela , il l'en fait aver— de la Afofcovie.
Page 136 - Chantres fuivis de deux condudeurs , qui precedoient le corps qui étoit dans une bierre couverte de velours noir , fur un long traîneau tiré par fix petits chevaux noirs. Le frère du défunt, nain comme lui , & âgé d'environ 50 ans, étoit derrière le cercueil, & le tenoit embrafle avec fes deux mains; 24 nains marchoienr deux à deux derrière le traîneau , fe tenant par la main.
Page 66 - Calmoucs fes vaflaux, non plus que les Regimens noirs , qui font une efpece de milice à laquelle on a donné ce nom. Toutes ces troupes font bien difciplinées & exadement recrutées.
Page 302 - Il aura auffi foin de faire provifion de toutes fortes de jeux & de ce qui en dépend. 4°' II n'y aura pas d'heure marquée pour venir, ni pour s'en aller.
Page 46 - Il demeura*, quelque tems dans cette pofture.;Lorfqu'il appèrçut les femmes de no-tre compagnie qui marchoient après •nous, il leur fit la grimace avec- un. grand éclat de, rire, & .branlant de -nouveau la tête , il fe retira fous fa claie, d'où il revint auiîi-tôtà nous.
Page 193 - Ils ne fe fervent point de chandelles r mais ils portent dans leurs mains , ou de travers dans leurs bouches de longs éclats de bois qui les éclairent quand ils fortent ou qu'ils travaillent.
Page xii - Etats les mieux policés, & les accoutumer par un continuel exercice aux fatigues & aux travaux de la guerre, fonder des Académies de Marine, & en établir pour toutes les autres...

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