...quil'affranr, chit, en «l'accoutumant à juger sous tous les » rapports ceux qui l'asservissoient. C'est lui qui » a rendu la raison populaire ; et si le peuple » n'avoit pas appris à penser , jamais il ne se se» roit servi de sa force- C'est la pensée des...

...société, étoit devenu , depuis quarante ans, un lieu commun des discours de la main ne s'arrête pas plus dans son indépendance que dans sa servitude; et c'est Voltaire qui l'a affranchi, en l'accourumant à juger, sous tous les rapports, ceux qui l'assorvissoicnt. C'est lui qui a rendu la...

...premier une fois secoué , le second dçyoit l'être bientôt après. L'esprit humain ne s'arrête pas plus dans son indépendance que dans sa servitude...c'est Voltaire qui l'a affranchi en l'accoutumant ù juger sous tous les rapports ceux quj. l'asset vissaient. C'est lui qui a rendu la raison populaire;...

...le premier une fois secoué ', le second devoit l' être ,, bientôt. l'Esprit humain ne s'arrête pas plus dans ,, son indépendance que dans sa servitude...l'accoutumant à juger ,, sous tous les rapports ceux qui l'asservissoient. 5, C'est lui qui a rendu la raison populaire , et si „ le peuple n'eut pas appris...

...devoit l'être bientôt après. L'esprit » humain ne s'arrête pas plus dans son indépen» dance que dans sa servitude; et c'est Voltaire » qui l'a...l'accoutumant à juger » sous tous les rapports ceux qui l'asservissoient. » C'est lui qui a rendu la raison populaire ; et si » le peuple n'eût pas appris...

...premier une fois se» coué, le second devoit l'être bientôt après. » L'esprit humain ne s'arrête pas plus dans » son indépendance que dans sa servitude ; et » c'est Voltaire qui l'a affranchi , en l'accou» tumant à juger, sous tous les rapports, ceux » qui l'asservissoient. C'est lui qui a rendu...

...brisé le joug des prè; in ,. jamais on n'eût brisé celui des «tyrans L'esprit humain ne s'arrête pas plus dans son indépendance que dans sa servitude,...sous tous les «rapports ceux qui l'asservissaient. »C est lui qui a rendu la raison ;•<>npulaire, et si le peuple n'eût pas «appris à penser , jamais...

...brisé le joug^ des prêtres, jamais on n'eût brise celui des tyrans.... L'esprit humain ne s'arrête pas plus dans son * indépendance que dans sa servitude,...l'accoutumant à juger sous tous les rapports ceux qui l'asservissaieht. C'est lui qui a rendu la raison populaire; et si (i) Ce journal était réáigé...

...qui l'affranchit, en » l'accoutumant à juger, sous tous les rapports, ceux qui l'asservissoieut. » C'est lui qui a rendu la raison populaire ; et si le peuple n'eût pas ap» pris à penser, jamais il ne se seroit servi de sa force. C'est la pensée des » sages qui prépare...

...fois secoué, le second devait » l'être bientôt après. L'esprit humain ne s' arrête pas pi us » dans son indépendance que dans sa servitude ; et...les rapports ceux qui l'asservissaient. C'est lui quia » rendu la raison populaire ; et si le peuple n'eût pas appris » à penser, jamais il ne se...