Je lui dis de sa part les paroles de tendresse qu'il m'avait dites: après quoi nous nous allâmes tous coucher. Mais quoique je consentisse de tout mon cœur à ce qu'elle faisait, à cause que je croyais que c'était le plus grand bien qui lui pût... Littérature - Page 41by Victor Cousin - 1849Full view - About this book
| 1751 - 496 pages
...Quoique je confentifle de tout mon cœur à ce qu'elle rarfuit, à caufe que je croyoisque c'éioit le plus grand bien qui lui pût arriver , néanmoins la grandeur de cette réfolution m'étonnoit de telle forte, & m'occupoit fi fort l'efprit, que je n'en dormis point de... | |
| 1844 - 652 pages
...quoyque je consentisse de tout mon cœur à ce qu'elle faisoit, à cause que je croyois que c'étoit le plus grand bien qui lui pût arriver ; néanmoins...j'eus peur qu'elle ne se trouvât mal , de sorte que j'nllai à son lit , où je la trouvay fort endormie. Le bruit que je fis l'ayant réveillée, elle... | |
| Gilberte Périer, Jacqueline Pascal, Marguerite Périer - 1845 - 534 pages
...coucher. Mais quoique je consentisse de tout mon cœur à ce qu'elle faisait, à cause que je croyais que c'était le plus grand bien qui lui pût arriver, néanmoins la grandeur de cette résolution m'étonnait de telle sorte et m'occupait si fort l'esprit, que je n'en dormis point de toute la nuit.... | |
| Victor Cousin - 1849 - 450 pages
...quoyque je consentisse de tout mon cœur à ce qu'elle faisoil, à cause que je croyois que c'étoit le plus grand bien qui lui pût arriver; néanmoins...l'esprit que je n'en dormis point de toute la nuit. Sur lr, sept heures, comme je voyois que ma sœur ne se levoit point, je crus qu'elle n'avoit pas dormi... | |
| Victor Cousin - 1849 - 438 pages
...quoyque je consentisse de tout mon cœur à ce qu'elle faisoit, à cause que je croyois que c'étoit le plus grand bien qui lui pût arriver; néanmoins...grandeur de cette résolution m'étonnoit de telle sorte cl m'occupoit si fort l'esprit que je n'en dormis point de toute la nuit. Sur les sept heures, comme... | |
| Adolphe Hatzfeld - 1901 - 314 pages
...coucher. Mais quoique je consentisse de tout mon cœur à ce qu'elle faisait, à cause que je croyais que c'était le plus grand bien qui lui pût arriver, néanmoins la grandeur de cette résolution m'étonnait de telle sort* et m'occupait si fort l'esprit, que je n'en dormis point de toute la nuit.... | |
| Gustave Michaut - 1902 - 316 pages
...coucher. Mais quoique je consentisse de tout mon cœur à ce qu'elle faisait, à cause que je croyais que c'était le plus grand bien qui lui pût arriver, néanmoins la grandeur de cette résolution m'étonnait de telle sorte et m'occupait si fort l'esprit, que je n'en dormis point de toute la nuit.... | |
| 1909 - 978 pages
...néanmoins la grandeur de cette résolution m'étonnait de telle sorte et m'occupait si fort l'esprit qne je n'en dormis point de toute la nuit. Sur les sept heures, comme je voyais que ma sœur ne se levait point, je crus qu'elle n'avait point dormi non plus, et j'eus peur... | |
| Victor Giraud - 1910 - 364 pages
...coucher. Mais quoique je consentisse de tout mon cœur à ce qu'elle faisait, à cause que je croyais que c'était le plus grand bien qui lui pût arriver, néanmoins la grandeur de cette résolution m'étonuait ile telle sorte et m'occupait si fort l'esprit que je n'en dormis point de toute la nuit.... | |
| Victor Giraud - 1926 - 242 pages
...pût arriver, néanmoins la grandeur de cette résolution m'étonnait de telle sorte et m'occupait si fort l'esprit que je n'en dormis point de toute la nuit. Sur les sept heures, comme je voyais que ma sœur ne se levait point, je crus qu'elle n'avait point dormi non plus, et j'eus peur... | |
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