Histoire des expéditions maritimes des Normands, et de leur établissement en France au dixième siècleWouters, 1844 |
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Acta concilior Adam de Brême Anglo-Saxons Annal avaient Barbares bateaux Bened Benoit Bertin Bretagne Bretons butin camp Charlemagne Charles Charles-le-Chauve chef chrétiens Chronic chroniques clergé combat comte côtes couvent Danemark Danois dévasté Dorestad duc de Normandie Dudon Dudon de Saint-Quentin eccles églises ennemis évêques excursions expédition fils firent fleuve Flodoard flotte Frise Fuldens gens grant Guill Guillaume habitants Harald Hasting Hincmar Hist historiens hommes Hugues iarl Ibid Ibidem îles invasions islandais Jumièges l'abbaye l'an l'église l'évêque l'histoire l'île Loire Lothaire mands monastère mort mult Neustrie Nord Norm Norvège Norvégiens Olaf Orderic Vital païens pays peuple pirates prince quæ ravages règne reliques rent reste Richard rois Rollon Roman de Rou Rouen royaume s'étaient saint sancti Saxo Saxons scaldes Scandinaves siècle Snorro Suhm suiv sunt synode terres thar tion troupe vassaux Vedast VII des Histor Wace xe siècle
Popular passages
Page 417 - cryé fors pour cause criminelle, si comme pour feu ou pour larcin, « ou pour homicide ou pour autre évident péril, si comme se aucun « court seure à ung aultre le couteau traict. Cil qui crye harou, sans...
Page 215 - Abbon, qui nous a raconté en vers latins tout ce glorieux épisode de l'histoire de Paris, ont été transmis à la postérité. Cependant Paris n'a honoré leur courage par aucun monument; pourquoi le pont SaintMichel ne s'appelle-t-il pas le Pont des Douze'?
Page 393 - Dist par treis feiz tant solement : « Cent nefs ariva, ceo m'est vis, Er seir al port de Veneris. » Ceo lut treis feiz, od tant se tut; Ceo qu'il meismcs lut ne sut. »3»o Mult le tindrent à grant merveille ; L'un d'els à l'autre le conseille : r 8 \*, ci « Qu'est ceo qu'espeaut, que segnefie?
Page 398 - Ceo creit, mais bien s'en entremette, Que le munde a Bier suzmette : El chef lui asserra corone Ainz que demain past ore de none. Ne truis ne pas ne sui lisanz i785 Que unques li soens cors fust aidanz A ceste mortel traïsun N'à ceste grant occision.
Page 405 - Je connais un roi nommé le seigneur Louis, — Qui sert Dieu volontiers et que Dieu récompense. — Enfant, il perdit son père. Il en fut consolé : — Car Dieu le prit en grâce et devint son tuteur.
Page 15 - Hall' d'enlever les femmes et les enfans , de chercher un abri pendant la tempête, et de panser leurs blessures avant la fin du combat (3). Lorsque l'enthousiasme guerrier des champions s'exaltait jusqu'à la frénésie , ils prenaient rang parmi les Berseker (pugiles rabiosi). L'héroïsme de tous ces guerriers affrontait avec une égale joie les coups de l'ennemi et les fureurs de la tempête ; car la piraterie, qui était pour...
Page 405 - Herro, so duon ih, Dot ni rette mir iz, Al thaz thu gibiudist'. Tho nam her godes urlub, Huob her gundfanon uf, Reit her thara in Vrankon Ingagan Northmannon.
Page 13 - ... et c'est singulier pour l'époque, il y avait beaucoup d'incrédules. Sigmund dit avoir reconnu l'impuissance des dieux. Gaukathor dit à Olaf le Saint : « Mon frère d'armes » et moi, nous n'avons foi qu'en nos armes et en nos » forces, et nous nous en trouvons bien ». « Je n'ai, dit Bardur, aucune confiance aux idoles; » ayant parcouru maints pays, j'ai rencontré des géants > et des esprits, et ils n'ont rien pu contre moi ; je ne me » fie qu'à mes forces ». Le peuple croyait que...
Page xvi - Eh bien ! dit l'Éternel, à ceux qui naîtront sur cette terre je donnerai l'amour du sol et l'amour de la patrie. Les fleuves qui drainent ce sol stérile roulent sur un sable magnétique, et les hommes boivent, pour ainsi dire, le fer avec les eaux, ce qui doit influer sur l'énergie de leur caractère. Les Scandinaves étaient de haute taille et beaux de visage. Mais aussi imprévoyants que beaux, ils ne savaient ni aider la nature, ni ménager ses excédents de récolte. Aussi, quand l'année...
Page 179 - Louis pour lui ordonner d'aller combattre les ennemis. « Louis , mon roi , délivre mon peuple si rudement châtié par les Normands. » Le prince, ayant rassemblé ensuite les grands, leur dit, entre autres paroles: «Consolez-vous, mes compagnons, mes chevaliers : c'est par l'ordre de Dieu que nous marchons, c'est lui qui assurera le succès de nos armes ... Je ne m'épargnerai pas moi-même pour parvenir à vous délivrer; mais je veux qu'en ce jour ceux qui sont restés fidèles à Dieu suivent...