... l'ivresse. Une violente palpitation m'oppresse, soulève ma poitrine; ne pouvant plus respirer en marchant, je me laisse tomber sous un des arbres de l'avenue, et j'y passe une demi-heure dans une telle agitation, qu'en me relevant j'aperçus tout... La littérature française au dix-huitième siècle - Page 239by Paul Albert - 1879 - 478 pagesFull view - About this book
| Jean-Jacques Rousseau - 1793 - 332 pages
...e'touvdisseiueut semblable à l'ivresse. Une violente palpitntionm'opprcssc, soulève ma poitrine ; ne pouvant plus respirer en marchant, je me laisse tomber...sous un des arbres de l'avenue ; et j'y passe une demi-heuie'dans une tel le agi talion , qu'en me relevant j'appercus tout le devant de ma veste mouille... | |
| Jean François Marmontel - 1804 - 346 pages
...de l'avenue, et j'y passe une demi - heure dans une telle agitation , qu'en me relevant j'apperçus tout le devant de ma veste mouillé de mes larmes , sans avoir senti que j'en répandois ». Voilà une extase éloquemment décrh* e. Voici le fait , dans sa simplicité , tel... | |
| Jean-François Marmontel - 1805 - 326 pages
...m'oppresse, soulève ma poitrine. Ne pouvant plus respirer en marchant, je me laisse tomber sous un arbre de l'avenue, et j'y passe une demi-heure dans une telle agitation, qu'en me relevant j'apperçus tout le devant de ma veste mouillé de mes larmes, sans avoir senti que j'en répandois."... | |
| Pierre Gourju - 1816 - 460 pages
...l'avenue, » et j'y passai une demi-heure dans une telle agi» tation , qu'en me relevant j'aperçus tout le » devant de ma veste mouillé de mes larmes , sans » avoir senti que j'en répandois. Ce fut l'effet que 9 produisit sur moî la lecture d'une question pros> posé par l'académie... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 732 pages
...étourdissement semblable à l'ivresse. Une violente palpitation m'oppresse , souleve ma poitrine; ne pouvant plus respirer en marchant , je me laisse tomber...demi-heure dans une telle agitation qu'en me relevant' j'aperçus tout le devant de ma veste mouillé de mes larmes , sans avoir senti que j'en répandois.... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 696 pages
...l'ivresse. Une violente palpitation m'oppresse , soulève ma poitrine ; ne pouvant plus respirer eu marchant, je me laisse tomber sous un des arbres de...demi-heure dans une telle agitation, qu'en me relevant j'aperçus tout le devant de ma veste mouillé de mes larmes sans avoir senti que j'en répandais.... | |
| Jean-François Marmontel - 1818 - 566 pages
...m'oppresse, soulève ma poitrine. Ne pouvant plus respirer en marchant, je me laisse tomber sous un arbre de l'avenue, et j'y passe une demiheure dans une telle agitation, qu'en me relevant j'aperçus tout le devant de ma veste mouillé de mes larmes, sans avoir senti que j'en répandais.... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 432 pages
...étourdissement semblable à l'ivresse. Une violente palpitation m'oppresse , soulève ma poitrine ; ne pouvant plus respirer en marchant , je me laisse tomber...demi-heure dans une telle agitation qu'en me relevant j'aperçus tout le devant de ma veste mouillé de mes larmes , sans avoir senti que j'en rcpaudois.... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 548 pages
...étourdissement semblable à l'ivresse. Une violente palpitation m'oppresse , soulève ma poitrine; ne pouvant plus respirer en marchant, je me laisse tomber...demi-heure dans une telle agitation, qu'en me relevant j'aperçus tout le devant de ma veste mouillé de mes larmes, sans avoir senti que j'en répandais.... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 522 pages
...arbres de l'avenue , et j'y passe une demi-heure dans une telle agitation, qu'en me relevant j'aperçus tout le devant de ma veste mouillé de mes larmes, sans avoir senti que j'en répandais. O monsieur! si j'avais jamais pu écrire le quart de ce que j'ai vu et senti sous cet arbre, avec quelle... | |
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