Histoire de Henri Le Grand, Volume 2Chez Maradan, 1816 |
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affaires auroit avoient avoit Bois-Rosé bonté Brissac calvinistes cardinal catholique cents chevaux cœur comte d'Auvergne conseil cour courage députés dessein devoit dit-il donna duc de Bouillon duc de Guise duc de Mayenne duc de Savoie duc de Sully duchesse Duplessis enfans ennemis ensuite envoya Espagnols étoient étoit faisoit falloit fidélité finances François François Ier garnison gloire gouverneur guerre habitans Henri étoit Henri III Henri IV hommes jamais Jean Châtel Jeanin joie jours l'archiduc l'Espagne Laon Ligue ligueurs long-temps main maison maître majesté maréchal de Biron marquise de Verneuil Mémoires de Sully ment mille mort n'auroit n'avoit n'étoit négociations ordres paix pape parler parole passé Péréfixe personne peuple pouvoit prince princesse prit reconnoissance reçut reine religion répondit resta rien rois Rosny royale royaume sentimens seroit seul siége sire soldats sortir souverain sujet talens tion traité troupes trouva trouvoit venoit Villars vint Vitry vouloit voulut
Popular passages
Page 148 - ... beau titre que nous possédions), je l'ai tirée de la servitude et de la ruine. Je désire maintenant la remettre en sa première force et en son ancienne splendeur. Participez, mes sujets, à cette seconde gloire, comme vous avez participé à la première. Je ne vous ai point...
Page 147 - Si je faisais gloire de passer pour excellent orateur, j'aurais apporté ici plus de belles paroles que de bonne volonté; mais mon ambition tend à quelque chose de plus haut que de bien parler, j'aspire au glorieux titre de libérateur et de restaurateur de la France.
Page 139 - ... complet que je puisse endosser. Mes chemises sont toutes déchirées, mes pourpoints troués au coude, ma marmite est souvent renversée, et depuis deux jours je dîne et soupe chez les uns et les autres, mes pourvoyeurs disant n'avoir plus moyen de rien fournir pour ma table, d'autant qu'il ya plus de six mois qu'ils n'ont reçu d'argent.
Page 200 - C'est le chemin qu'on a pris pour faire des barricades, et venir par degrés au parricide du feu roi.
Page 346 - Quoique je me fâche quelquefois, ajouta-t-il (avec cette candeur qui lui était naturelle), je veux que vous le souffriez, car je ne vous en aime pas moins : au contraire, dès l'heure que vous ne me contredirez plus dans les choses que je sais bien qui ne sont pas de votre goût, je croirai que vous ne m'aimez plus.
Page 275 - ... je lui pardonne pour l'amour de vous et de « M. de Rosny, qui m'en a prié à jointes mains : mais c'est à condition « que vous le chapitrerez bien tous trois, et que vous m'en répondrez « à l'avenir; car je vous le baille en garde, afin de le faire sage, s'il ya moyen.
Page 199 - faut que tous soient bons Français , et que les catholiques convertissent « les huguenots par l'exemple de leur bonne vie.
Page 148 - Je ne vous ai point appelés, comme faisaient mes prédécesseurs, pour vous faire approuver leurs volontés. Je vous ai fait assembler pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, bref, pour me mettre en tutelle entre vos mains; envie qui ne prend guère aux rois, aux barbes grises et aux victorieux.
Page 140 - Partant, jugez si je mérite d'être ainsi traité, et si je dois plus longtemps souffrir que les financiers et trésoriers me fassent mourir de faim, et qu'eux tiennent des tables friandes et bien servies, que ma maison soit pleine de nécessités...
Page 306 - Messieurs , leur dit-il, je veux vous dire à tous que j'aime Rosny plus que jamais, et qu'entre lui et moi c'est à la vie et à la mort.