(564 p.)Pourrat Frères, 1838 |
Contents
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Common terms and phrases
anciens assez avaient avons barbare Bayle blé bouc brachmanes brûler bulle c'était cardinal cause finale César chap Chine Chinois chose chrétiens Cicéron ciel circoncision citoyens concile de Nicée concile général condamné confession Constantin Constantinople corps coutume crime Cromwell Cyrus David décrétales déja déluge DICTIONN Dieu dieux Dion Cassius disent dispute divin donne Égypte Égyptiens empereurs enfans enfin Éphèse ère vulgaire espèce Évangiles évêques fausses décrétales femme fesait fille François Ier gouvernement Grecs hébreu hommes jamais jésuites Jésus Jésus-Christ jour juge Juifs Kehl l'an l'article l'église l'Égypte l'empereur l'empire Lactance lettres livre lois long-temps Louis XIV manger Matthieu ment monde monseigneur mort n'en n'était nation nature Nestorius nommé pape parlement passé pays père peuple PHILOS philosophes premier prétend prêtres prince qu'un raison religion ridicule rien rois Romains Rome royaume s'il saint Esprit Saül savans SECTION Seigneur serait seul siècle soleil terre tion trouve Zoroastre
Popular passages
Page 42 - C'est par là que Molière, illustrant ses écrits, Peut-être de son art eût remporté le prix, Si, moins ami du peuple, en ses doctes peintures II...
Page 18 - Voltaire, la nation française, rassasiée de vers, de tragédies, de comédies, d'opéras, de romans, d'histoires romanesques, de réflexions morales plus romanesques encore, et de disputes théologiques sur la grâce et sur les convulsions, se mit enfin à raisonner sur les blés.
Page 53 - Viselli : 105 est modus in rebus, sunt certi denique fines, quos ultra citraque nequit consistere rectum.
Page 51 - Vous ne démentez point une Race funeste. Oui, vous êtes le sang d'Atrée et de Thyeste. Bourreau de votre Fille, il ne vous reste enfin Que d'en faire à sa Mère un horrible festin.
Page 399 - ... conscience, dupe de tout ce qui joue le prince, les ministres, les femmes et les dévots ; toujours gouvernant, et toujours gouverné ; malheureux dans ses choix, aimant les sots, souffrant les talents, craignant l'esprit; sérieux dans ses amours, et, dans son dernier attachement, faible à faire pitié ; aucune force d'esprit dans les succès; de la sécurité dans les revers, du courage dans sa mort. Il aima la gloire et la religion, et on l'empêcha toute sa vie de connoitre ni l'une ni l'autre.
Page 507 - Paris, et que pour se désennuyer il se fit théologien, et disputa vigoureusement dans les écoles. On ajoute que l'empereur Henri VII. ne fit rien pour lui, tout gibelin qu'il était ; qu'il alla chez Frédéric d'Aragon, roi de Sicile, et qu'il en revint aussi pauvre qu'il y était allé.
Page 509 - Dante a damnés, et à ne se pas tromper dans une matière si grave. On a fondé une chaire, une lecture pour expliquer cet auteur classique. Vous me demanderez comment l'Inquisition ne s'y oppose pas. Je vous répondrai que l'Inquisition entend raillerie en Italie ; elle sait bien que des plaisanteries en vers ne peuvent point faire de mal...
Page 116 - Hélas ! ils voudraient tous fe rendre à la lumière , Recommencer cent fois leur pénible carrière : Ils regrettent la vie, ils pleurent...
Page 545 - Le véritable vice d'une république civilisée est dans la fable turque du dragon à plusieurs têtes et du dragon à plusieurs queues. La multitude des têtes se nuit, et la multitude des queues obéit à une seule tête qui veut tout dévorer.
Page 484 - Je plains le sort d'un curé de campagne obligé de disputer une gerbe de blé à son malheureux paroissien, de plaider contre lui, d'exiger la dîme des lentilles et des pois, d'être haï et de haïr, de consumer sa misérable vie dans des querelles continuelles, q-ui avilissent l'âme autant qu'elles l'aigrissent.