Conférence de droit social: le travail et le commerceMazaroz, 1882 - 116 pages |
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besoins brahmanisme c'est-à-dire chambres syndicales charité matérielle ciale citoyen cléricaux colonnes patronale commerciales conférence congrès Constituants de 1791 constitue corporations corps d'arts d'arts et métiers désordre des mœurs despotisme Deynaud dis-je discours des orateurs Elbeuf émanci enseignements évangiles falsifications familles professionnelles fatalement fédération fessionnelles générale hommes humaines individuelle j'ai Jésus de Nazareth justice l'argent l'esprit des lois l'homme l'industrie L'organisation professionnelle l'ouvrier Jésus l'union patronale liberté Louis Blanc magasins MAZAROZ ment merce Mirabeau monieux Monsieur moyen mutualité nations Nature officiels parabole du royaume patrons et ouvriers physiocratique politiciens politicisme politique pratique présente principes prochain produits profit Pythagore quatrième État règne collectif règne des collectivités règne du travail relations représente représentent Révolution Révolution française royaume du travail ruine science scientifique sectes sacerdotales sera servitude seul social de l'individualisme socialisation sociétés spéculations boursières système social tarifs tions traités de paix travail national travail organisé travailleur Jésus travailleurs laborieux vail verset vriers
Popular passages
Page 19 - Et quiconque aura quitté sa maison, ou ses frères ou ses sœurs, ou son père, ou sa mère, ou sa femme, ou ses enfants, ou ses champs, à cause de mon nom, recevra le centuple et possédera la vie éternelle.
Page 103 - Mais observe mes lois en l'abstenant des choses Que ton âme doit craindre, en les distinguant bien; En laissant sur le corps régner l'intelligence...
Page 12 - Jésus lui répondit: Tu ne tueras point; tu ne commettras point d'adultère; tu ne déroberas point ; tu ne diras point de faux témoignage; 19. Honore ton père et ta mère; et tu aimeras ton prochain comme toi-même.
Page 102 - Tour à tour ballottés par des vagues contraires, Sur une mer sans rive ils roulent, aveuglés, Sans pouvoir résister ni céder à l'orage.
Page 102 - Qu'ai-je fait? Si c'est mal, abstiens-toi : si c'est bien, persévère. Médite mes conseils; aime-les; suis-les tous : Aux divines vertus ils sauront te conduire. J'en jure par celui qui grava dans nos cœurs, La Tétrade sacrée, immense et pur symbole, Source de la Nature et modèle des Dieux. Mais qu'avant tout, ton âme, à son devoir fidèle, Invoque avec ferveur ces Dieux, dont les secours Peuvent seuls achever tes œuvres commencées.
Page 101 - Sois bon fils, frère juste, époux tendre et bon père. Choisis pour ton ami, l'ami de la vertu; Cède à ses doux conseils, instruis-toi par sa vie, Et pour un tort léger ne le quitte jamais; Si tu le peux du moins : car une loi sévère Attache la Puissance à la Nécessité.
Page 101 - Consulte, délibère, et choisis librement. Laisse les fous agir et sans but et sans cause. Tu dois dans le présent contempler l'avenir. Ce que tu ne sais pas, ne prétends point le faire Instruis-toi : tout s'accorde à la constance, au temps.
Page 102 - Veille sur ta santé : dispense avec mesure, Au corps les aliments, à l'esprit le repos. Trop ou trop peu de soins sont à fuir; car l'envie, A l'un et l'autre excès, s'attache également. Le luxe et l'avarice ont des suites semblables. Il faut choisir en tout, un milieu juste et bon.
Page 12 - Tu aimeras ton prochain comme toi-même. 20 Le jeune homme lui dit: J'ai observé toutes ces choses-là dès ma jeunesse; que me manque-t-il encore? 21 Jésus lui dit: Si tu veux être parfait...
Page 101 - II t'est donné pourtant de combattre et de vaincre Tes folles passions : apprends à les dompter. Sois sobre, actif et chaste, évite la colère. En public, en secret, ne te permets jamais Rien de mal, et surtout, respecte-toi toi-même.