Le clocher solitaire s'élevant au loin dans la vallée a souvent attiré mes regards ; souvent j'ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au-dessus de ma tête. Je me figurais les bords ignorés, les climats lointains où ils se rendent... (424 p.) - Page 114by Abbé Augustin Sénac - 1865Full view - About this book
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1802 - 354 pages
...tourmentoit ; je sentois que je n'étois moi-même qu'un voyageur ; mais une voix du Ciel sembloit me dire : « Homme, la saison de » ta migration n'est pas encore venue; at» tends que le vent de la mort se lève , alors » tn déploieras ton vol vers ces régions » inconnues... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1847 - 558 pages
...clocher solitaire, s'élevant au loin dans la vallée, a souvent attiré mes regards ; souvent j'ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au-dessus...lointains où ils se rendent ; j'aurais voulu être sut leurs ailes. Un secret instinct me tourmentait, je sentais que je n'étais moi-même qu'un voyageur;... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1849 - 418 pages
...mes regards; souvent j'ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au-dessus de ma tète. Je me figurais les bords ignorés, les climats lointains...instinct me tourmentait, je sentais que je n'étais moi -même qu'un voyageur; mais une voix du ciel semblait me dire : « Homme, la saison de la « migration... | |
| Pierre Leroux - 1850 - 606 pages
...René : « Souvent j'ai suivi des yeui les oiseaux de passage qui volaient au-dessus » de ma tête... Un secret instinct me tourmentait : je sentais que je n'étais » moi-même qu'un Toyageur; mais une voix du ciel semblait me dire : — » Homme, la saison de ta migration n'est pas... | |
| Pierre Leroux - 1850 - 600 pages
...en images. Voilà le symbole. Nous en prendrons un autre exemple dans René : « Souvent j'ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au-dessus » de ma tête... Un secret instinct me tourmentait : je sentais que je n'étais » moi-même qu'un voyageur ; mais une... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1851 - 560 pages
...solitaire, s'élevant au loin dans la vallée, . a souvent attiré mes regards ; souvent j'ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au-dessus...leurs ailes. Un secret instinct me tourmentait, je sen- ,. tais que je n'étais moi-même qu'un voyageur; mais !,. une voix du ciel semblait me dire :... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1853 - 540 pages
...attiré mes regards ; souvent j'ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au-dessus dema tête. Je me figurais les bords ignorés, les climats...mais une voix du ciel semblait me dire : « Homme, la sai•< son de ta migration n'est pas encore venue ; attends « que le vent de la mort se lève : alors... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1859 - 564 pages
...attiré mes regards; souvent j'ai suivi des yeux les oiseajix_de passage qui volaient au-dessus dé ma tête. Je me figurais les bords ignorés, les climats...tourmentait, je sentais que je n'étais moi-même qu'an voyageur; mais une voix du ciel semblait me dire : «Homme , la sai« son de ta migration n'est... | |
| François-René de Chateaubriand - 1864 - 536 pages
...clocher solitaire, s'élevant au loin dans la vallée, a souvent attiré mes regards ; souvent j'ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au-dessus...mais une voix du ciel semblait me dire : « Homme, la sai« sou de ta migration n'est pas encore venue ; attends « que le vent de la mort se lève : alors... | |
| Alphonse de Lamartine - 1869 - 424 pages
...clocher solitaire s'élevant au loin dans la vallée a souvent attiré mes regards; souvent j'ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au-dessus...qu'un voyageur; mais une voix du ciel semblait me dire : « Ilomme, la sai« son de ta migration n'est pas encore venue; at• tends que le vent de la mort... | |
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