 | Simon Nicolas Henri Linguet, Jean Dusaulx - 1821 - 532 pages
...surprendre. C'est pourquoi j'en demeurai là» Deux jours après , aussitôt que le déjeûner fut venu , et que mon soldat fut sorti pour sa fonction ordinaire...et me mettant entre la lumière de la chandelle et sou visage, j'écrasai du charbon, un peu de cendre de paille brûlée , et les détrempai avec un... | |
 | Saint Albin Berville, François Barrière - 1821 - 548 pages
...surprendre. C'est pourquoi j'en demeurai là. » Deux jours après , aussitôt que le déjeuner fut venu , et que mon soldat fut sorti pour sa fonction ordinaire...un autre billet qui me pressait fort d'écrire , et nie donnait quelques lumières qui m'assuraient que ces billet* nie venaient de bonne part ; ainsi... | |
 | Simon Nicolas Henri Linguet - 1822 - 526 pages
...surprendre. C'est pourquoi j'en demeurai là. » Deux jours après , aussitôt que le déjeûner fut venu , et que mon soldat fut sorti pour sa fonction ordinaire...billets me venaient de bonne part ; ainsi j'y pris qlielque confiance , et lorsque la nuit fut venue et que mon soldat fut endormi, je me levai , et me... | |
 | Petitot (M., Claude-Bernard) - 1827 - 464 pages
...surprendre : c'est pourquoi j'en demeurai là. Deux jours après, aussitôt que le déjeûner fut venu, et que mon soldat fut sorti pour sa fonction ordinaire , je vis descendre un autre billet qui me pressoit fort d'écrire , et me donnoit quelques lumières qui m'assuroient que ces billets me venoient... | |
 | Claude Bernard Petitot - 1827 - 466 pages
...surprendre : c'est pourquoi j'en demeurai là. Deux jours après, aussitôt que le déjeûner fut venu, et que mon soldat fut sorti pour sa fonction ordinaire, je vis descendre un autre billet qui me pressoit fort d'écrire, et me donnoit quelques lumières qui m'assuroient que ces billets me venoient... | |
 | Pierre de La Porte - 1827 - 480 pages
...surprendre : c'est pourquoi j'en demeurai là. Deux jours après, aussitôt que le déjeûner fut venu, et que mon soldat fut sorti pour sa fonction ordinaire , je vis descendre un autre billet qui me pressoit fort d'écrire, et me donnoit quelques lumières qui m'as. suroient que ces billets me venoient... | |
 | Joseph Fr. Michaud, Jean Joseph François Poujoulat - 1839 - 760 pages
...j'en demeurai là. Deux jours après, aussitôt que le déjeûner fût venu , et que mon soldat fût sorti pour sa fonction ordinaire, je vis descendre un autre billet qui me pressoit fort d'écrire, et me donnoit quelques lumières qui m'assuroient que ces billets me venoient... | |
 | Victor Cousin - 1856 - 562 pages
...surprendre ; c'est pourquoi j'en demeurai là. Deux jours après, aussitôt que le déjeuner fut venu, et que mon soldat fut sorti pour sa fonction ordinaire, je vis descendre un autre billet qui me pressoit fort d'écrire, et me donnoit quelques lumières qui m'assuroient que ces billets me venoient... | |
 | Victor Cousin - 1874 - 452 pages
...jusqu'à lui, c'est pourquoi j'en demeurai là. Deux jours après, aussitôt que lô déjeuner fut venu, et que mon soldat fut sorti pour sa fonction ordinaire, je vis descendre un autre billet qui me pressoit fort d'écrire, et me donnoit quelques lumières qui m'assuroient que ces billets me venoient... | |
 | Adrien Desprez - 1882 - 384 pages
...surprendre; c'est pourquoi j'en demeurai là. Deux jours après, aussitôt que le déjeuner fut venu, et que mon soldat fut sorti pour sa fonction ordinaire,...billet qui me pressait fort d'écrire et me donnait quelque lumière qui m'assurait que ces billets me venaient de bonne part. Ainsi j'y pris quelque confiance... | |
| |
... de bonne part : ainsi j'y pris quelque confiance ; et lorsque la nuit fut venue et que mon soldat fut endormi , je me levai, et me mettant entre la lumière de la chandelle et son visage , j'écrasai... 
