| Saint Albin Berville, François Barrière - 1821 - 548 pages
...il fit encore un tour et s'en alla assez brusquement. Je demeurai tout éperdue , et plus persuadée que jamais du sinistre traitement qu'on me destinait....profondes réflexions. Je n'avais à cœur que de bjerrfeire^ et je ne me souciais ni de souffrir ni de mourir ; mais je craignais ce que peut contre... | |
| Simon Nicolas Henri Linguet, Jean Dusaulx - 1821 - 532 pages
...il fit encore un tour et s'en alla assez brusquement. Je demeurai tout éperdue , et plus persuadée que jamais du sinistre traitement qu'on me destinait....subir. Je continuai de me promener à grands pas, faisant^sur ce sujet de profondes réflexions. Je n'avais à cœur que de bien faire , et je ne me... | |
| Simon Nicolas Henri Linguet - 1822 - 526 pages
...il fit encore un tour et s'en alla assez brusquement. Je demeurai tout éperdue, et plu? persuadée que jamais du sinistre traitement qu'on me destinait....que notre homme en était informé , et que cette connais-» sancelui avait fermé la bouche; ne voulant ni prévariquer dans son ministère , ni avancer... | |
| 1829 - 546 pages
...qu'on me destinoit. Je crus que notre homme en étoit informé, et que cette connoissance lui avoit fermé la bouche, ne voulant ni prévariquer dans...ministère, ni avancer, par la prévoyance, le mal que je devois subir. Je continuai de me promener à grands pas , faisant sur ce sujet de profondes réflexions.... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1829 - 544 pages
...qu'on me destinoit. Je crus que notre homme en étoit informé, et que cette connoissance lui avoit fermé la bouche, ne voulant ni prévariquer dans...ministère, ni avancer, par la prévoyance, le mal que je devois subir. Je continuai de me promener à grands pas, faisant sur ce sujet de profondes réflexions.... | |
| Charles Pinot- Duclos - 1829 - 546 pages
...qu'on me destinoit. Je crus que notre homme en étoit informé, et que cette connoissance lui avoit fermé la bouche, ne voulant ni prévariquer dans...ministère, ni avancer, par la prévoyance, le mal que je devois subir. Je continuai de me promener à grands pas, faisant sur ce sujet de profondes réflexions.... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1829 - 542 pages
...qu'on me destinoit. Je crus que notre homme en étoit informé, et que cette connoissance lui avoit fermé la bouche, ne voulant ni prévariquer dans...ministère, ni avancer, par la prévoyance, le mal que je devois subir. Je continuai de me promener à grands pas, faisant sur ce sujet de profondes réflexions.... | |
| 1846 - 472 pages
...entretien. Il fit encore un tour, et s'en alla brusquement. Je demeurai tout éperdue, et plus persuadée que jamais du sinistre traitement qu'on me destinait....prévoyance, le mal que je devais subir. Je continuai de me promenerà grands pas, faisant sur ce sujet de profondes réflexions. Je n'avais ù cœur que de bien... | |
| 1864 - 474 pages
...entretien. Il lit encore un tour, et s'en alla brusquement. Je demeurai tout éperdue, et plus persuadée que jamais du sinistre traitement qu'on me destinait....prévoyance, le mal que je devais subir. Je continuai de me promènerà grands pas, faisant sur ce sujet de profondes réflexions. Je n'avais à cœur que de bien... | |
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