Apologétique ChrétienneBloud, 1913 - 507 pages |
Common terms and phrases
affirmation âmes Apôtres autorité Bible Bossuet Bouddhisme choses chrétiens Christ Christianisme clergé concile condamnation conscience Constantinople corps croire culte définir Dieu dire disciples divine doctrinale doctrine dogme écrit Encyclique enseignement Évan Évangiles évêques fidèles fondée Galilée grec Harnack hérétiques historique hommes humaine infaillible institution Jérusalem Jésus Jésus-Christ Judaïsme Juifs juridiction l'âme l'apostolicité l'Église catholique l'Église grecque l'Église Romaine l'enseignement l'État l'Évangile l'évêque l'homme l'infaillibilité l'Inquisition l'unité Léon XIII liberté libre libre examen lui-même Luther martyrs ment miracles mission monde morale mort nécessaire Pape parle parole pasteurs patriarche penser Père peuple Pie IX pouvoir de gouvernement Préliminaires prêtres preuve primauté prophéties Protestantisme Protestants prouver qu'une question raison rationalistes religieuse religion Renan révélation rien Rome s'il sacrements saint Irénée saint Jean saint Luc saint Mathieu saint Paul saint Pierre Saint-Office sainteté schisme science scientifique serait seule siècle société spirituelle surnaturel Syllabus système témoignages texte théorie tion tradition véritable Église vrai
Popular passages
Page 215 - Toute puissance m'a été donnée au ciel et sur la terre. Allez donc, enseignez toutes les nations, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit; leur enseignant à garder tout ce que je vous ai confié.
Page 295 - Et moi, je te dis que tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église, et les portes de l'enfer ne prévaudront pas contre elle. Et je te donnerai les clefs du royaume des cieux...
Page 400 - Nulle puissance humaine ne peut forcer le retranchement impénétrable de la liberté du cœur. La force ne peut jamais persuader les hommes, elle ne fait que des hypocrites.
Page 464 - Il ne devait certainement pas céder ses droits , mais il devait se repentir d'un assassinat : l'intérêt du genre humain demande un frein qui retienne les souverains , et qui mette à couvert la vie des peuples. Ce frein de la religion aurait pu être, par une convention universelle , dans la main des papes , comme nous l'avons déjà remarqué.
Page 214 - Jona; car ce n'est pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela, mais mon Père qui est dans les cieux.
Page 118 - Dieu peut-il faire des miracles ? C'est-à-dire, peut-il déroger aux lois qu'il a établies? Cette question sérieusement traitée serait impie si elle n'était absurde : ce serait faire trop d'honneur à celui qui la résoudrait négativement que de le punir; il suffirait de l'enfermer.
Page 193 - Or, afin que vous sachiez que le Fils de l'homme a sur la terre le pouvoir de remettre les péchés : Levez-vous, je vous le commande, dit-il au paralytique; emportez votre lit, et vous en allez en votre maison (b).
Page 201 - Pendant un instant de silence, quelque léger souffle passa sur la face des assistants. A ces heures décisives, un courant d'air, une fenêtre qui crie, un murmure fortuit, arrêtent la croyance 'des peuples pour des siècles. En même temps que le souffle se fit sentir, on crut entendre des sons. Quelques-uns dirent qu'ils avaient discerné le mot schalom., « bonheur » ou « paix » . C'était le salut ordinaire de Jésus et le mot par lequel il signalait sa présence.
Page 400 - La force ne peut jamais persuader les hommes ; elle ne fait que des hypocrites. Quand les rois se mêlent de religion , au lieu de la protéger, ils la mettent en servitude. Accordez...
Page 124 - Une commission composée de physiologistes, de physiciens, de chimistes, de personnes exercées à la critique historique, serait nommée. Cette commission choisirait le cadavre, s'assurerait que la mort est bien réelle, désignerait la salle où devrait se faire l'expérience, réglerait tout le système de précautions nécessaires pour ne laisser prise à aucun doute. Si, dans de telles conditions, la résurrection s'opérait, une probabilité presque égale à la certitude serait acquise.