Erreurs de Voltaire, Issue 60, Volume 1 |
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Albigeois Ammien Marcellin Anglois assez auroit auteurs avoient avoit avouer beau Calvin cardinal cents CHAP CHAPITRE Charlemagne Charles Charles VII chose Chré Chrétiens Christianisme concile condamné Constantin crime Cromwel d'Angleterre déclarer devoit Dioclétien dit-il dogmes donner écrivain Elizabeth empereurs ensuite erreurs étoient étoit Eusèbe Eutrope évêques faisoient faisoit falloit fameux firent foiblesse François guerre hardiment Heliogabale Henri IV Henri VIII hérétiques Histoire du Japon Histoire générale historiens Hollandois hommes huguenots jamais Jean Jean Hus Jésus-Christ juge Julien l'empereur l'empire l'histoire livre Louis XIV lui-même Luther Mahomet martyrs massacrer Maximien Maximien Hercule ment méprisable mille mœurs n'avoient n'avoit n'étoit nation odieux pape parle paroît payens père persécution peuple Philippe philosophe Photius pouvoit presque preuve prince d'Orange princesse protestants qu'un raison rébelles réforme règne reine Religion catholique respect rien Rome sage sagesse Saint seigneurs seroit siècle Suède taire tion traits trône trouve Turenne vérité Voilà Voltaire vrai zèle
Popular passages
Page 296 - On ne s'attachera, dans cette histoire, qu'à ce qui mérite l'attention de tous les temps, à ce qui peut peindre le génie et les mœurs des hommes, à ce qui peut servir d'instruction et conseiller l'amour de la vertu, des arts et de la patrie.
Page 350 - Jeune, j'étais trop sage, Et voulais trop savoir; Je ne veux en partage Que badinage, Et touche au dernier âge Sans rien prévoir.
Page 221 - On ne confronte point les accusés aux délateurs, et il n'ya point de délateur qui ne soit écouté. Un criminel...
Page 301 - Franche-Comté en dot, en épousant l'infante, alors nous pourrions aspirer à la succession d'Espagne, quelque renonciation qu'on fît faire à l'infante; et ce ne serait pas une attente fort éloignée, puisqu'il n'ya que la vie du prince son frère qui l'en pût exclure. » Ce prince était alors Balthasar, qui mourut en 1649.
Page 102 - La première est la consécration, par laquelle le pain et le vin sont changés au corps et au sang, et la seconde, est la manducation par laquelle on y participe.
Page 262 - Il unissoit. à une extrême franchise la plus adroite politique, aux sentimens les plus élevés une simplicité de mœurs charmante , et à un courage de soldat un fonds d'humanité inépuisable.
Page 22 - ... et d'un prodigue. Ils le peindront toujours ambitieux, cruel et sanguinaire. Demandez-le à Eusèbe, à Grégoire de Nazianze, à Lactance ; ils vous diront que c'était un homme parfait. Entre ces deux extrêmes, il n'ya que les faits avérés qui puissent vous faire trouver...
Page 157 - ... du détroit, et les fait couler sur ces planches. Tout ce grand travail s'exécuta en une seule nuit, et les assiégés sont surpris le lendemain matin de voir une flotte entière descendre de la terre dans le port. Un pont de bateaux, dans ce jour...
Page 175 - L'hérésiarque furieux eut recours a sa réponse ordinaire , aux injures : • Je ne sais si la folie elle-même, disait-il à ce monarque , peut être aussi insensée qu'est la tête du pauvre Henri. Oh ! que je voudrais bien couvrir cette Majesté anglaise de boue et d'ordure ! j'en ai bien le droit... Venez, disait-il encore, monsieur Henri, je vous apprendrai : Veniatù, domine Henrice, ego docebo vos.
Page 9 - ... à haute voix : Je suis soldat de Jésus-Christ, le Roi éternel ! Il jeta aussi son sarment de vigne et ses armes, et ajouta : Je ne veux plus servir dans les troupes de vos empereurs, ni à vos dieux de bois et de pierre, qui sont des idoles sourdes et muettes. Si la condition des gens de guerre est telle qu'ils soient obligés de sacrifier aux dieux et aux empereurs, je laisse le sarment de vigne et le baudrier, et je renonce au service. On...