L'Opposition religieuse au concordat de 1792 à 1803 |
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anciens août article aurait Autriche avaient avant Bernier Bonaparte bonne bref canoniques cardinal catholique cause circonstances civile clergé Concordat conduite Consalvi conscience constitutionnels contraire culte d'après d'autres décembre décider décision déclaration demande démission démissionnaires démissions dernier devait devoir Dieu diocèses dire disait disait-il donner ecclésiastiques écrit écrivait effet Église Emery émigrés enfin évêques exilés faisait fidélité forme formule gallicane général gouvernement haine jours jugement l'abbé l'archevêque l'article l'Église l'épiscopat l'évêque l'opposition l'unité laisser légitimes lettre liberté lois Londres Louis XVIII mémoire ment mesure n'avait n'était négociations nombre nouveau nouvelle novembre opposants paix Pape pendant persécution Pie VII portée pouvait pouvoir prélats Premier Consul prêter prêtres projet promesse prononcé publié puissance qu'une question raisons rapport Réclamations refus règles religieuse religion réponse réserves résistance reste rétablissement Révolution rien Rome s'il sacrifice saint Saint-Siège septembre serait serment seul sièges sion soumission Spina suivant tion titre titulaires trouve véritable
Popular passages
Page 89 - Par une surveillance active, continuelle, infatigable, rompez leurs mesures, entravez leurs mouvements, désolez leur patience; enveloppez-les de votre surveillance; qu'elle les inquiète le jour, qu'elle les trouble la nuit; ne leur donnez pas un moment de relâche; que, sans vous voir, ils vous sentent partout à chaque instant...
Page 35 - VI de la dite loi, ils seront tenus de prêter le serment de haine à la royauté et à l'anarchie, d'attachement et de fidélité à la République et à la Constitution de l'an III.
Page xvi - Comment accorder les différents titulaires qui étaient a la tête du même diocèse, de la même paroisse, et dont chacun croyait être seul le pasteur légitime de cette paroisse ou de ce diocèse ? « Les questions qui divisaient les titulaires n'étaient pas purement théologiques : elles touchaient à des choses qui intéressent les droits respectifs du sacerdoce et de l'empire; elles étaient nées des lois que la puissance civile avait promulguées sur les matières ecclésiastiques. Il n'était...
Page xii - On n'a plus à -craindre aujourd'hui les systèmes ultramontains et les excès qui ont pu en être la suite; nous devons être rassurés contre des désordres auxquels les lumières, la philosophie et l'état présent de toutes choses opposent des obstacles insurmontables (2).
Page 126 - ... de serment; enfin, que l'autorité ne se mêlât en rien des opinions religieuses de personne. Ainsi donc le gouvernement consulaire eût contenté l'opinion en maintenant en France la tolérance absolue, telle qu'elle existe en Amérique...
Page 47 - Maître; qu'ils aillent, dans les temples qui se rouvrent pour eux, offrir avec leurs concitoyens le sacrifice qui expiera les crimes de la guerre et le sang qu'elle a fait verser ». BONAPARTE.
Page xvi - ... conséquemment avoir que le triste résultat d'inquiéter la conscience du citoyen, ou de faire suspecter sa fidélité. « Une grande mesure devenait nécessaire; il fallait arriver jusqu'à la racine du mal, et obtenir simultanément les démissions de tous les titulaires, quels qu'ils fussent.
Page 128 - Jamais le Pape ne pourra me rendre un plus grand service ; sans effusion de sang, sans secousse, lui seul peut réorganiser les catholiques de France sous l'obéissance républicaine. Je le lui ai demandé. Le catholicisme une fois soumis d'affection, je pourrai supprimer l'intermédiaire étranger, conciliateur entre la République et les ecclésiastiques. La direction de ces derniers...
Page 117 - Que vos philosophes, que vos idéologues répondent à cela ! Il faut une religion au peuple. Il faut que cette religion soit dans la main du gouvernement. Cinquante évêques émigrés et soldés par l'Angleterre conduisent aujourd'hui le clergé français. Il faut détruire leur influence. L'autorité du Pape est nécessaire pour cela : il les destitue ou leur fait donner leur démission. On déclare que la religion catholique étant celle de la majorité des Français, on doit en organiser l'exercice.
Page 16 - Nul ne pourra remplir le ministère d'aucun culte dans lesdits édifices, à moins qu'il ne se soit fait décerner acte, devant la municipalité du lieu où il voudra exercer, de sa soumission aux lois de la république.