Revue des deux mondes, Volume 63François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au bureau de la Revue des deux mondes., 1921 |
Other editions - View all
Common terms and phrases
Abbès allemand âme Antommarchi arrive assez avaient beau Bela Kun Brocatel c'était cent chambre Charles de Foucauld chose Classe cœur coup d'ailleurs Dagrenat demande devant Dieu dire donner doute enfants enfin eût faisait fille française Frère Charles fût Gaston Chérau Gaudias général gens gouvernement guerre Henri de Régnier HENRI LAVEDAN heures homme Irène j'ai jamais jardin jeune jour Juifs l'abbé l'Allemagne l'armée l'Empereur l'enseignement laisser lettre Louis Bertrand Lowe Luxembourg LXIII main maison maître maladie Maroc matin ment ministre Mme Lesoir mois monde Monsieur Montholon mort musique n'avait n'était Napoléon nuit O'Meara œuvre officiers Panteau Paradour parler passé pauvre pays peine pensée père Père de Foucauld petite Pétrograd peuple Pologne Pootius porte pouvait premier presque prince de Conti qu'un Raspoutine RAYMOND POINCARÉ RENÉ BAZIN reste rien Rousseau Russie s'en s'était Saint salon semble sentiment serait Serbes seul soir soldats sorte Stokoë tion trouve Valérie Verling voix yeux
Popular passages
Page 402 - Je vous avoue que la majesté des Écritures m'étonne , la sainteté de l'Évangile parle à mon cœur. Voyez les livres des philosophes avec toute leur pompe; qu'ils sont petits près de celui-là! Se peut-il qu'un livre, à la fois si sublime et si simple, soit l'ouvrage des hommes? Se peut-il que celui dont il fait l'histoire ne soit qu'un homme lui-même? Est-ce...
Page 277 - ... commandement du centre, Desaix celui de l'aile droite et Kléber de l'aile gauche. Berthier fut nommé chef de l'état-major. Le ier avril, la nouvelle du départ de Bonanaparte pour Toulon s'étant répandue à Paris, le directoire fit publier dès le lendemain un arrêté qui enjoignait au général de se rendre à Brest pour y prendre le commandement de l'armée d'Angleterre. Le cabinet de Londres fut dupe de ce stratagème. Il est certain que dans un conseil du cabinet auquel tous le ministres...
Page 408 - Je dois lire et relire Rousseau jusqu'à ce que la beauté de l'expression ne me trouble plus; car alors seulement je peux le saisir avec la raison.
Page 172 - Qu'il embellît cette magnifique et délicieuse maison, ou bien qu'il munît un camp au milieu du pays ennemi, et qu'il fortifiât une place; qu'il marchât avec une armée parmi les périls, ou qu'il conduisît ses amis dans ces superbes allées, au bruit de tant de jets d'eau qui ne se taisaient ni jour ni nuit, c'était toujours le môme homme, et sa gloire le suivait partout.
Page 179 - Mais le moyen de ne vous pas parler de la plus belle , de la plus magnifique et de la plus triomphante pompe funèbre qui ait jamais été faite depuis qu'il ya des mortels; c'est celle de feu M. le Prince qu'on a faite aujourd'hui à Notre-Dame ; tous les beaux esprits se sont épuisés à faire valoir tout ce qu'a fait ce grand prince , et tout ce qu'il a été. Ses pères sont représentés par des médailles jusqu'à saint Louis...
Page 102 - ... Alger pour voyager avec moi. Je t'avoue que si je n'avais pas tenu beaucoup à accomplir mon itinéraire, et à ne pas revenir sans avoir rien fait, je l'aurais remercié il ya plus d'un mois, et je serais revenu à Alger chercher quelqu'un de plus actif, de plus entreprenant et de plus viril. Mais à aucun prix, je ne veux revenir sans avoir vu ce que j'ai dit que je verrai, sans avoir été où j'ai dit que j'irai. « Je crois que le voyage me coûtera tout ce que j'ai emporté, ou peu s'en...
Page 363 - Ce serait une grande chose que tous les fils d'un même peuple, réunis ainsi, au moins pour quelque temps, se vissent et se connussent avant les vices de la pauvreté et de la richesse, avant l'égoïsme et l'envie. L'enfant y recevrait une impression ineffaçable de la patrie, la trouvant dans l'école...
Page 178 - Il ya plus d'un an qu'il soupire et qu'il se regarde dans l'état où il est comme s'il était en purgatoire. Je conjure Votre Majesté de l'en vouloir sortir et de lui accorder un pardon général. Je me flatte peut-être un peu trop, mais que ne peut-on...
Page 399 - ... avilit les âmes, concentre toutes les passions dans la bassesse de l'intérêt particulier, dans l'abjection du moi humain, et sape ainsi à petit bruit les vrais fondements de toute société; car ce que les intérêts particuliers ont de commun est si peu de chose, qu'il ne balancera jamais ce qu'ils ont d'opposé. Si l'athéisme ne fait pas verser le sang des hommes, c'est moins par amour pour la paix que par...
Page 301 - J'ai, ici, une douleur vive et aiguë qui, lorsqu'elle se fait sentir, semble me couper comme avec un rasoir ; pensez-vous que ce soit le pylore qui soit attaqué, mon père est mort de cette maladie à l'âge de trentecinq ans ; ne serait-elle pas héréditaire?